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SAWS est l'abrégé de : Salla Allahou alayhi Wa Salam
"Allah et ses Anges prient sur le Prophète. O croyants, priez pour lui et louez-le."
( Sourate 33, verset 56 ).

Et d'aprés Al-Husayn, le Prophète ( Salla Allahou alayhi wa Salam ) a dit :
"L'égoîste, c'est celui qui ne prie pas sur moi quand mon nom est prononcé en sa présence.",
Rapporté par Ahmad, At-Tirmidhi, an-Nassa'î.

hadith 0463 – La prière – Sur la tente qu'on met dans la mosquée pour les malades et autres

Sous-chapitre 76
Sur la tente qu’on met dans la mosquée pour les malades et autres

HADITH 0463
Aicha dit : A la bataille d’al-Khandaq, Sad fut blessé à la veine médiane de la main. Et pour le visiter souvent, le Prophète lui dressa une tente à l’intérieur de la mosquée. Il y avait en outre une autre tente pour les béni Ghifar. Surpris par le sang qui coulait vers eux; ils s’écrièrent alors en disant : « Hé ! vous qui êtes dans la tente ! quelle est cette chose qui vient à nous de votre direction ? »
C’était la blessure de Sad qui laissait échapper beaucoup de sang. D’ailleurs, c’est à la suite de cette blessure qu’il succomba.

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hadith 0439 – La prière – Sur le sommeil de la femme dans la mosquée

Sous-chapitre 56
Sur le sommeil de la femme dans la mosquée

HADITH 0439
Aicha : Il y avait une esclave noire qui appartenait à un clan arabe. Affranchie, elle continua à vivre avec les membres de ce clan. Mais voilà qu’un jour une petite du clan sortit portant une ceinture en cuir rouge qu’elle posa (ou : qui tomba d’elle) et qui fut prise par un milan. Et après de vaines recherches, les hommes du clan accusèrent l’esclave et cherchèrent même dans sa partie intime de devant. Tout d’un coup, le milan revint et jeta la ceinture, ce qui poussa la femme à dire :
« Eh bien ! voici la chose pour laquelle vous m’avez accusée alors que j’étais innocente. »
Après cet incident, reprit Aicha, cette femme vint voir le Messager de Dieu et déclara sa conversion à l’islam. Elle avait après cela une tente (ou : une petite tente) à l’intérieur de la mosquée. Elle venait des fois chez moi me raconter quelques histoires. Et, à chaque fois, elle citait ce poème :
« Le jour de la ceinture était un signe émanant de Dieu.
N’est-ce pas Lui qui m’avait sauvée de la cité incrédule ? »
Mais qu’as-tu, lui dis-je, à reprendre toujours ce poème lorsque tu prends place avec moi ? Et c’est en me répondant qu’elle m’avait raconté l’histoire.

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