Sous-chapitre 72
Sur le fait que la fille lave le sang du visage de son père
Abu al-Aliya, qui était malade, dit une fois à ses visiteurs : « Essuyez-moi le pied-ci ! il est malade. »
HADITH 0243
Abu Hâzim entendit Sahl ben Sad as Sa’idi répondre à des gens qui l’interrogeaient : « Personne ne s’interposait entre moi et lui », ajouta Abu Hâzim, sur la chose avec laquelle on avait soigné la blessure du Prophète. « Aucun des survivants n’est plus au courant de cette affaire que moi, di Sahl. C’était Ali qui apportait son bouclier plein d’eau tandis que Fâtima lavait le sang qui était sur son visage; puis on prit une natte, on la brûla et on tamponna la blessure. »