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"L'égoîste, c'est celui qui ne prie pas sur moi quand mon nom est prononcé en sa présence.",
Rapporté par Ahmad, At-Tirmidhi, an-Nassa'î.

Schmallenberg , c'est le nom du nouveau virus qui s'attaque aux moutons et aux vaches

Salam alikoum, Frères et soeurs,

Il ne s’agit pas d’une annonce d’un produit pas halal, mais d’un nouveau virus qui s’appelle Schmallenberg et qui touche les moutons et les vaches, donc, j’ai juger cela assez important pour en publier l’article sur le site.

bis lama.

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Un nouveau virus se répand dans les élevages français.

94 élevages dont une majorité de moutons ont été touchés par le virus Schmallenberg en France

Le virus Schmallenberg, qui affecte les élevages de vaches et de moutons, se répand en France. De nouveaux cas apparaissent chaque jour.

Désormais, 94 élevages dont une majorité de moutons, répartis dans 18 départements français sont concernés par le nouveau virus Schmallenberg (SBV). Ce virus qui chez les animaux adultes se traduit par de la fièvre, des diarrhées et éventuellement une diminution de la production de lait provoque également des infections fœtales ou des malformations multiples chez les agneaux.

«Comme ce virus a été détecté en novembre dernier en Allemagne et au Pays-Bas, les premiers cas français ont été identifiés dans l’est du pays» explique Thomas Balenghien chercheur au Cirad (Centre de recherche agronomique pour le développement). Mais aujourd’hui, il semble qu’on pourrait le retrouver un peu partout sur le territoire. «Après la Haute-Normandie, des cas viennent en effet d’être signalés dans la Vienne et la Haute-Vienne», poursuit le chercheur qui ajoute «cela ne veut pas dire que la maladie s’étend, cela veut dire pour le moment qu’elle est bien identifiée au fur et à mesure que l’information se répand».

La contamination daterait de l’été dernier. Mais comme les symptômes chez l’adulte sont similaires à ceux d’autres maladies, il a fallu attendre les premières naissances pour véritablement identifier le nouveau virus. «Pour le moment, on manque d’outils qui permettraient d’identifier par des prises de sang les animaux qui ont été infectés durant l’été et qui sont aujourd’hui en bonne santé.» Ce virus étant proche du virus d’akabane, responsable également de malformations chez les ruminants, les chercheurs pensent que la transmission est vectorielle. Elle se ferait par des moustiques ou, plus vraisemblablement par des petits moucherons (culicoides) qui sont vecteurs de beaucoup d’autres maladies.

Des insecticides inefficaces

Ces insectes devraient réapparaître avec le printemps. Faute de pouvoir lutter contre eux – les produits insecticides commercialisés ne semblent jusqu’à présent pas très efficaces – la recherche devrait rapidement porter sur un vaccin. «Pour la fièvre catarrhale du mouton, la maladie de la langue bleue, le vaccin a été développé en 18 mois environ», souligne encore Thomas Balenghien. les virus nouveaux sont relativement rares mais il y a quelques années, l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire) prévoyait qu’ils allaient de plus en plus correspondre à des maladies vectorielles.

Pays-Bas, Allemagne et aujourd’hui la France agissent de façon très coordonnée et ont mis en place un système de détection. «Chez nous, dès qu’un agneau présente un problème, une déclaration doit être faite et c’est l’Etat qui paie l’analyse», explique-t-on au ministère français de l’Agriculture. Par ailleurs, on tente d’évaluer le taux d’attaque dans les élevages et, rétrospectivement, le nombre de bêtes qui ont été malades.

«La question aujourd’hui est de savoir si ce virus va passer ou s’il va s’installer». Il ne serait en tous cas pas dangereux pour l’homme. «La transmission à l’homme est peu probable mais ne peut pas être exclue à ce niveau», explique le centre européen de prévention et de contrôle des maladies installé en Suède et qui a pour mission de surveiller toutes les maladies transmissibles.

Source : figaro.fr

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