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SAWS est l'abrégé de : Salla Allahou alayhi Wa Salam
"Allah et ses Anges prient sur le Prophète. O croyants, priez pour lui et louez-le."
( Sourate 33, verset 56 ).

Et d'aprés Al-Husayn, le Prophète ( Salla Allahou alayhi wa Salam ) a dit :
"L'égoîste, c'est celui qui ne prie pas sur moi quand mon nom est prononcé en sa présence.",
Rapporté par Ahmad, At-Tirmidhi, an-Nassa'î.

MANGER DES FRUITS AVANT LES REPAS

Allah (Le Très Haut) a dit : 

 وَأَمْدَدْنَاهُم بِفَاكِهَةٍ وَلَحْمٍ مِّمَّا يَشْتَهُونَ

 « Nous les pourvoirons abondamment des fruits et des viandes qu’ils désireront. »

 Sourate 52, verset 22

 

Allah (Le Très Haut) a dit également : 

 وَفَاكِهَةٍ مِمَّا يَتَخَيَّرُونَ , وَلَحْمِ طَيْرٍ مِمَّا يَشْتَهُونَ 

 « […] Et des fruits de leur choix, et toute chair d’oiseau qu’ils désireront. »

Sourate 56, verset 20

 

Abû Hurayra (رضي الله عنه) rapporte :

 فجاءهم بعذق فيه بسر وتمر ورطب، فقال: كلوا من هذه، ثم أخذ المدية وانطلق ليذبح لهم

 « […] Et Il ( le Compagnon Mâlik Ibn at-Tahyân) est revenu vers eux (càd : vers le Messager d’Allâh, Abou Bakr et Omar) avec des grappes de raisins et de dattes en leur disant :  « Mangez de ceci ! » 

Ensuite il a pris le couteau pour immoler un mouton pour eux […] »

 Source: Sahîh Mouslim (2038) ; édition al-Hadîth (5/48-49) 

 

COMMENTAIRE

 al-Hâfidh an-Nawawî et l’Imâm ar-Râzî ont dit qu’Allah Le Très Haut a cité dans ces versets les fruits avant les autres nourritures pour les repas des gens du Paradis, et que ceci prouve que de commencer par les fruits avant les repas est recommandé et préférable.

 al-Hâfidh an-Nawawî a commenté le Hadîth narré plus haut en disant : 

فيه دليل على استحباب تقديم الفاكهة على الخبز واللحم وغيرهما

 « […] Il y a ( à travers ce hadith ) une preuve qui montre la recommandation de commencer à manger les fruits avant le pain , la viande et autres nourritures. » 

 Source: Charh Sahîh Muslim (13/213)

 

COMPLÉMENT

 ‘Aisha rapporte :

 كان يأكل البطيخ بالرطب فيقول: نكسر حر هذا ببرد هذا وبرد هذا بحر هذا

 « Le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) mangeait du melon (البطيخ) avec des dattes en disant :
« Nous éteignons la chaleur de celui-la avec la fraîcheur de celui-ci, et la fraîcheur de celui-ci avec la chaleur de celui-la. »  

 Source: Sunan Abi Dawûd 3836. Voir : Silsilat al-Ahâdîth as-Sahîha (1/86 – n°57)


L’Imâm Ibn Qayyim a dit: 

ينبغي أكله قبل الطعام

 « Il convient de le manger avant les repas […] »  

Source: Zâd al-Ma’âd (3/175)

Conseils pratiques pour éviter le piège de la médisance.


Conseils pratiques pour éviter le piège de la médisance.

Qu’est-ce que la médisance ?

Avez-vous déjà rencontré une personne coupable de cannibalisme ? Probablement pas, pourtant si on devait donner un surnom à ceux d’entre nous qui s’adonnent à la médisance ce serait : des cannibales. C’est ainsi qu’on décrit la médisance en Islam. Nous sommes nombreux à savoir cela.

Allah soubhanahou Wa Ta’ala nous met en garde :

« Ô vous qui avez cru! Évitez de trop conjecturer [sur autrui] car une partie des conjectures est péché. Et n’espionnez pas; et ne médisez pas les uns des autres. L’un de vous aimerait-il manger la chair de son frère mort? (Non!) vous en aurez horreur. Et craignez Allah. Car Allah est Grand Accueillant au repentir, Très Miséricordieux » [Sourate des Appartements (Al-Hujurât), 49:12].

Comme nous a enseigné le Prophète (paix et bénédictions sur lui), médire.

« C’est le fait de parler de ton frère d’une façon qui ne lui plairait pas ». Certains demandèrent : « Qu’en penses-tu, si ce que je dis de mon frère est vrai ? » Le Prophète (paix et bénédictions sur lui) répondit : « Si ce que tu dis sur lui est vrai, tu te seras rendu coupable de médisance. Mais si ce que tu dis sur lui est faux, tu l’auras alors calomnié ».

Pourquoi les gens s’adonnent-ils à la médisance ?

Lorsqu’une personne aime médire à propos d’autrui, c’est normalement dû à une ou plusieurs des causes suivantes :

L’ignorance.
Le manque de confiance en soi.
L’envie.
L’ennui/la perte de temps.
Vouloir impressionner autrui.
Une foi faible.

Que doit-on faire lorsque les gens commencent à médire ?

Parfois, on a le sentiment d’être entrainé dans des situations où la médisance prend le dessus. Bien que l’on aimerait vraiment éviter de telles circonstances, on ne sait pas toujours comment éviter ce genre de conversation et encore moins comment y mettre fin. Voici quelques conseils utiles incha’Allah :

1. Faites l’éloge de la personne en question.

Observez votre foi monter en flèche lorsque vous défendez la personne qui est sujet à médisance. Le Prophète (paix et bénédiction sur lui) a dit :

« Celui qui défend l’honneur de son frère alors qu’il est absent, c’est un devoir pour Allah que de l’affranchir du feu ». (Tirmidhi).

Il se peut que pendant un moment vous hésitiez à prendre la défense de cette personne, mais trouvez le courage ! Une fois que vous aurez prononcé les premiers mots, vous vous sentirez bien d’avoir eu la bonne attitude, et les gens autour de vous se rendront compte qu’ils sont en train de gaspiller leur temps dans des conversations inutiles.

2. Allez chercher la vérité.

Même si cela peut être perçu comme scandaleux, vous pouvez demander à la personne médisante de vous accompagner pour aller voir la personne concernée et vérifier si les propos rapportés sont authentiques. Vous n’êtes pas réellement obligé d’aller vérifier, c’est toutefois une action qui fait partie de la sounna. En effet, nous ne devons pas mentir sur les autres et ternir leur réputation surtout si cela repose sur des rumeurs.

3. Expliquez que cela ne vous concerne pas.

C’est probablement la partie la plus difficile quand on se retrouve avec un groupe d’amis qui se met à médire d’autrui, mais c’est important de leur rappeler que la vie des autres ne les concerne pas à moins qu’ils en discutent d’une façon convenable. Vous pouvez également encourager la personne à ne pas parler en mal d’autrui en lui disant que ce qu’elle dit ne vous intéresse pas ou ne vous concerne pas. Puis essayez de trouver un sujet de discussion autre que parler sur autrui !

Il est rapporté qu’Al-Hassan Al-Basri (qu’Allah lui fasse miséricorde) a dit :

« Parmi les signes qui indiquent qu’Allah se détourne du serviteur, est le fait qu’Il le fasse se préoccuper de ce qui ne le concerne pas ».

4. Mettez-vous à sa place.

Posez cette question à la personne médisante (ou bien à vous-même le cas échéant) : « Que ressentiriez-vous si ces vicieuses rumeurs étaient sur vous ? » Cela devrait amener la personne à regagner un sens d’intégrité, à se mettre à la place de l’individu dont elle vient juste de parler et avec un peu de chance à éviter de médire sur quelqu’un d’autre.

5. Changez de sujet.

Si vous avez essayé les démarches susmentionnées sans obtenir de résultat, essayez de changer la discussion et trouvez un autre sujet qui peut intéresser vos interlocuteurs, ou bien demandez leurs de vous parler d’eux-mêmes.

6. Partez.

Si vos efforts n’aboutissent à rien, et bien partez, tout simplement. Allah nous dit dans le Coran :

« Quand tu vois ceux qui pataugent dans des discussions à propos de Nos versets, éloigne-toi d’eux jusqu’à ce qu’ils entament une autre discussion. Et si le Diable te fait oublier), alors, dès que tu te rappelles, ne reste pas avec les injustes. » [Sourate des Bestiaux (Al-An’am), 6:68].

Comment délaisser la médisance ?

Qu’en est-il si c’est vous qui êtes à l’origine de ces discussions inutiles ?

Retenez votre souffle et rappelez-vous les conseils suivants avant de dire un mot.

1. Rappelez-vous que la médisance est un péché majeur en Islam et qu’elle figure parmi les causes de l’entrée en enfer

2. Posez-vous la question suivante :

« Est-ce que la personne dont je vais parler aimerait ce que je m’apprête à dire ? Aurais-je eu le courage de dire la même chose si cette personne était présente ? Serais-je fier de moi-même après avoir parlé ? ».

Vous pouvez vous épargner les remords et les excuses qui vont avec, simplement en vous posant ces questions. En plus, essayez de vous rappeler ce que vous avez ressenti la dernière fois que vous avez appris que l’on parlait en mal de vous.

3. Est-ce utile pour quiconque d’être au courant ?

Allah soubhanahou Wa Ta’ala dit :

« Bienheureux sont certes les croyants, ceux qui sont humbles dans leur Salât, qui se détournent des futilités et Ceux qui ne donnent pas de faux témoignages; et qui, lorsqu’ils passent auprès d’une frivolité, s’en écartent noblement et quand ils entendent des futilités, ils s’en détournent ». [Sourate du Récit (Al-Qasa), 28:55].

Ces versets décrivent le comportement que l’on doit avoir lorsqu’on discute. Un conseil précieux qui vous aidera à couper court aux conversations téléphoniques et à discuter que de ce qui est important.

4. Est-ce nécessaire pour quiconque d’être au courant ?

Même si c’est le cas, est-ce que votre intervention est nécessaire ? Parfois shaytan nous piège en nous faisant croire que l’on se sentira plus important en médisant sur les autres et en les rabaissant. Demandez-vous plutôt comment vous pouvez améliorer votre caractère et votre propre vie.

5. Imaginez que la personne dont vous parlez peut entendre tout ce que vous dites à son propos.

Quelle serait donc votre réaction ? Sachez qu’Allah soubhanahou Wa Ta’ala est le Clairvoyant, l’Audient, et l’Omniscient. N’oublions pas le Jour où chacun sera tenu responsable de ses actes dans ce bas monde. La médisance aura un reflet négatif sur votre caractère.

6. Faites attentions à vos fréquentations.

Évitezla compagnie des gens qui ont l’habitude de s’adonner à la médisance. Identifiez les moments où il y a médisance et consacrez-les plutôt à faire des tâches utiles où même mieux, consacrez-les à sensibiliser les autres sur les méfaits de la médisance!

7. En êtes-vous sûr à 100% ?

Diffuser de fausses informations est une calomnie qui peut causer de la discorde au sein de la communauté. Allah soubhanahou Wa Ta’ala dit :

« Pourquoi, lorsque vous l’avez entendue [cette calomnie], les croyants et les croyantes n’ont-ils pas, en eux-mêmes, conjecturé favorablement, et n’ont-ils pas dit : C’est une calomnie évidente? » [Sourate de la Lumière (An-nûr), 24:12].

8. Réjouissez-vous du temps et des récompenses que vous allez gagner.

En arrêtant cette mauvaise habitude sans mentionner les bonnes actions que vous accumulerez et effaceront les mauvaises. Vous serez étonné du temps et de l’énergie que vous gagnerez, sans oublier la récompense divine dans l’Au-delà incha’Allah.

9. Recherchez les qualités chez les gens.

Si vous devez vraiment parler d’une personne absente, parlez de ses qualités, comme à quel point elle travaille dur, à quel point elle est drôle et humble au lieu de parler de ses défauts. Comme je le dis souvent : « nous sommes prompt à détecter les défauts des autres, mais pas les notre ».

10.Extérioriser d’une manière différente.

Si vous ressentez le besoin urgent de répandre une nouvelle et que vous ne pouvez plus la garder pour vous-même, écrivez-le dans votre journal ou sur un bout de papier. Relisez ce que vous avez écrit après quelques jours et demandez-vous si vous voulez vraiment montrer au monde entier que vous n’êtes pas assez digne de confiance pour garder un fait confidentiel pour vous-même ! Débarrassez-vous du papier et des pensées négatives ! Disciplinez votre esprit à penser positivement des autres.

11. Repentez-vous et ayez l’intention d’arrêter la médisance.

Gardez à votre portée les versets et les Hadiths se rapportant à ce péché. Mettez-les en fond d’écran de votre ordinateur, écrivez-les sur un tableau (de cette façon ils seront également visibles pour les autres !). Enfin, invoquez Allah soubhanahou Wa Ta’ala pour qu’il vous aide dans votre démarche, soyez patient et persévérant. Rappelez-vous :

« Que celui qui croit en Allah et au Jour Dernier, qu’il ne dise du bien ou qu’il se taise. » [Al-Boukhari].

On a demandé au Prophète (paix et bénédiction sur lui) :

« Ô Messager d’Allâh ! Quel est le meilleur Islam ? » Il répondit : « Celui dont les musulmans sont en sécurité concernant ses paroles et ses actes. » [Al Boukhari et Mouslim].

Et si jamais quelqu’un dit du mal de vous en votre absence ?

Envoyez-lui un cadeau ; Il est en train de vous offrir ses hassanats !

On a dit à une personne : « untel est en train de dire du mal à ton propos ». Il lui a envoyé un plat de dattes, avec un message : « j’ai entendu que vous m’avez offert vos hassanats et je veux bien vous remercier en vous offrant ces dattes ; tout en m’excusant du fait que mon cadeau n’est pas à la hauteur de ce que vous méritez ».

Bien que cela puisse paraître amusant, cela requiert un sens de la dignité de se lier d’amitié avec la personne qui vous a calomnié.

Pour conclure, ayez l’intention de purifier votre cœur dès aujourd’hui, et mettez en œuvre les conseils ci-dessus mentionnés pour améliorer votre vie. Si vous avez d’autres conseils, partagez-les avec nous en commentaire !

Par Jihan Anwar pour MusulmanProductif.com.

Le danger d'apprendre sans méditer, par Ibn Qayyim Al-Jawziyya

coran-002Le danger d’apprendre sans méditer

« Ceux à qui fut confiée la Thora, mais qui ne l’ont pas appliquée, sont comparables à un âne qui transporte des livres. Ceux qui traitent de mensonges les versets de Dieu font l’objet d’une bien mauvaise comparaison! Et Dieu ne guide pas les gens injustes » ( Sourate 62, Al-Jumu’a : verset 5 )

Allah illustre ici les personnes auxquelles Il a permis de mémoriser Son livre afin qu’ils puissent y prêter foi, le méditer, le mettre en pratique et y inviter autrui, mais qui n’ont rien fait de tout cela et se sont contentés de le retenir par coeur. Ils le récitent sans être attentifs, sans chercher à le comprendre ou se conformer à ses directives ou en faire une référence juridique. Leurs actes ne sont pas en conformité avec le coran. Ils sont comparables à des ânes qui portent des ballots sans même savoir ce qui se trouve sur leurs dos… Le seul lien qu’ils ont en commun avec leurs charges est qu’ils en sont les porteurs. Ces gens ne tirent du Livre d’Allah qu’un profit comparable à celui que tirent ces bourriques des livres qu’elles portent sur le dos. Bien que cette allégorie illustre les Juifs, sa signification s’étend à tous ceux qui reçoivent le Coran, mais ne l’appliquent pas et ne lui rendent pas le respect qui lui est dû.

Titre: « …Et ces paraboles, nous les citons aux gens afin qu’ils réfléchissent… » coran s.59 v.21, L’explication des paraboles citées dans le noble coran

Auteur: Ibn Qayyim Al-Jawziyya

Pages: 44-45

Edition: Dar Al Muslim

L’âge de 40 ans dans le Coran, l’âge de la maturité.

L’âge de 40 ans dans le Coran, l’âge de la maturité.

Des scientifiques ont découvert que le développement du cerveau se poursuivait jusqu’à l’âge de 40 ans au moins, autant dire que le développement humain ne se complète qu’à cet âge. Un constat énoncé dans le Quran al Karim depuis sa révélation à notre prophète Mouhammed (PBSL). On découvre ainsi que c’est à ce moment-là que l’Homme jouit de ses pleines facultés corporelles et intellectuelles.
Le Quran.

Dans la sourate Al ahqaf, v.15, Allah, exalté soit-Il, nous dit :

Et Nous avons enjoint à l’homme de la bonté envers ses père et mère : sa mère l’a péniblement porté et en a péniblement accouché ; et sa gestation et sevrage durent trente mois ; puis quand il atteint ses pleines forces et atteint quarante ans, il dit : « Ô Seigneur ! Inspire-moi pour que je rende grâce au bienfait dont Tu m’as comblé ainsi qu’à mes père et mère, et pour que je fasse une bonne œuvre que Tu agrées. Et fais que ma postérité soit de moralité saine. Je me repens à Toi et je suis du nombre des Soumis. ».
L’exégèse de l’imam Ibn Kathir nous apprend, concernant la deuxième partie du verset « puis quand il atteint ses pleins forces et atteint quarante ans », que c’est l’âge idéal en islam où l’homme atteint sa perfection. Il devient sage et robuste. Un âge également propice à la reconnaissance envers Allah, ‘azawajal, et au retour à Lui et à être ferme dans tout cela.
La science.

D’après une équipe de chercheurs londoniens, entre autres, le cerveau se développe jusqu’à l’âge de 40 ans. C’est la région du cortex préfrontal qui continuerait à se développer entre 30 et 40 ans. Il s’agit d’une zone clé de notre cerveau impliquée dans les prises de décisions, la planification, la priorisation, la maîtrise des pulsions.

En 2010, le professeur Sarah-Jayne Blackemore, neuroscientifique à l’Université de Londres, remet en question la supposition que le cerveau s’arrêtait de se développer pendant l’enfance, et déclare à ce sujet :
« (…) Nous savons maintenant, grâce à l’imagerie cérébrale, que nous étions loin de la vérité, et que de nombreux cerveaux humains continuaient de se développer pendant plusieurs décennies. La région du cerveau qui est passée par le développement le plus long est le cortex préfrontal droit, la partie antérieure du lobe frontal du cerveau. ».
« Elle commence à se développer au début de l’enfance, est réorganisée à la fin de l’adolescence, et continue de se développer pendant la trentaine et la quarantaine. C’est la région du cerveau qui nous rend humains. ».

Une vérité parmi les nombreux miracles du Quran, soubhanaLah.