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hadith 0001 à 0007 – Le début de la révélation – Comment commença la Révélation chez le Messager de Dieu (pbsl)
SOUS-CHAPITRE 1
Comment commença la Révélation chez le Messager de Dieu (pbsl) – De : C’est Nous qui t’avons fait révélation, comme Nous avons révélé à Noé, aux prophètes d’après lui. (sourate An Nisa, verset 163.
Le cheikh, l’imam et le traditionniste ‘Abu ‘Abd-ul-Lâh Muhammad ben ‘Ismâ’il ben Ibrahim ben al-Mughîra al-Bukhâry, que dieu ait pitié de son âme, dit :
HADITH 0001
Muhammad ben ‘Ibrâhim at-Taymy rapporte avoir entendu ‘Alqama ben Waqqâs al-Laythy dire : J’ai entendu ‘Umar ben al-Khtâb, que Dieu l’agrée, dire du haut du minbar : J’ai entendu le Messager de Dieu dire : » La valeur de l’action réside dans l’intention … A chacun selon son intention : celui qui s’expatrie pour un certain bien de ce bas monde ou pour épouser une femme, son expatriation lui sera comptée comme tel »
HADITH 0002
Aicha, la Mère des Croyant, rapporta qu’al-Hârith ben Hichâm avait interrogé le Messager de Dieu en disant : » O Messager de Dieu! comment te vient la révélation ? » » Des fois « avait répondu le Messager de Dieu, » elle vient comme le tintement d’une clochette, elle m’est la plus pénible. A son interruption je saisis tout ce que l’ange a dit… D’autres fois, l’ange de la révélation se manifeste devant moi sous la forme d’un homme, il me parle et je saisis ce qu’il dit. » Et Aicha de continuer : « Je l’ai vu quelque fois recevoir la Révélation pendant un jour où il faisait très froid. En cessant, elle le laissait front ruisselant de sueur. »
HADITH 0003
Aicha, la Mère des Croyant, dit : « La vision pieuse durant le sommeil fut le premier signe de la Révélation chez le Messager de Dieu : chaque vision trouvait sa réalisation effective comme la clarté de l’aurore. Après cela, il aima la retraite. Il l’observait dans la grotte de Hirâ où il se livrait au tahamuth c’est-à-dire à des actes d’adoration durant plusieurs nuits avant de retourner chez lui pour se munir à cet effet de provisions. Après quoi, il revenait vers Khadija pour prendre d’autres provisions pour la même raison, et ce jusqu’à ce que vint à lui la Vérité alors qu’il se trouvait dans la grotte de Hira. L’ange de la Révélation se présenta alors devant lui en disant : » Lis ! » , « Je ne sais pas lire « répondit le Prophète. « Sur ce « , dit-il, l’ange me pressa en m’étouffant jusqu’aux limites de mes forces puis me lâcha en disant : » Lis ! » « Je ne sais pas lire » dis-je de nouveau. Il me pressa une deuxième fois jusqu’aux limites de l’étouffement puis me lâcha : « Lis ! » me dit-il « Je ne sais pas lire », répliquai-je. pour la troisième fois il me saisi jusqu’à l’étouffement, me lâcha et dit « lis au nom de ton Seigneur qui a créé! Qui a créé l’homme d’une jonction sanguine! Lis, car ton Seigneur est très généreux! « . Le Messager de Dieu retourna avec ces versets, le coeur palpitant, vers Khadija bent Khuwaylid et dit : « Enveloppez-moi! enveloppez-moi! » En effet, on l’enveloppa jusqu’à ce que sa crainte fût dissipée. Après quoi, il mit Khadija au courant de l’incident avant de lui dire : « J’ai eu peur pour ma propre personne. » « Non » lui dit-elle, « tu n’as pas à avoir peur, je jure par Dieu qu’Il ne te confondra jamais. Tu respectes les liens de parenté, tu aides le faible, tu donnes au démuni, tu accordes l’hospitalité à l’hôte et tu aides les gens à surmonter les malheurs. » Ensuite, Khadija emmena le Prophète chez son cousin paternel, Waraqa ben Nawfal ben ‘Asad ben’Abd-al-‘Uzza. C’était un personnage qui avait préféré embrasser le christianisme pendant la période Jahilite. Il savait écrire la langue hébraïque. D’ailleurs, il copiait de l’Evangile, en hébreu, tout ce que Dieu voulait qu’il transcrivit. Durant cette période, Waraqa était déjà un vieillard et était devenu aveugle. « Ô mon cousin ! » lui dit Khadija, « écoute ce que va te dire le fils de ton frère ! » « Ô fils de mon frère ! » s’adressa Waraqa au Prophète, « qu’as-tu vu ? » Et le Messager de Dieu de le mettre au courant. « Ce personnage », repris Waraqa, « est le confident qui fut envoyé auparavant à Moïse. Plaise au ciel que je sois jeune… Plaise au ciel que je sois encore vivant lorsque ton peuple te chassera ! » « Vont-ils me chasser ? » demanda le Messager de Dieu. « Oui, tout homme ayant apporté ce que tu viens d’apporter s’était vu souffrir d’une certaine hostilité… Je te soutiendrai de toutes mes forces si je vis jusqu’à ce jour. » Après cet évènement, Waraqa ne tarda pas à mourir. Quant à la Révélation, elle tarda à venir durant un certain temps.
HADITH 0004
Ibn Chihâb dit : Abu Salama ben ‘Abd-ar-Rahmân m’a informé, qu’en parlant du retard de la Révélation, Jâbir ben ‘Abd-ul-Lâh al-‘Ansâry avait rapporté ceci: Tandis que je marchais j’entendis une vois qui venait du ciel; je lançai alors le regard vers le ciel où je vis l’ange qui était venu me trouver à Hira. Il était assis sur un trône se trouvant entre le ciel et la terre. Saisi de peur, je rebroussai chemin. A mon arrivée, je dis: « Drapez-moi! drapez-moi! » C’est après cela que Dieu, le Très-Haut, révéla : Ô toi qui te drapes! Lève toi et avertis! Ton Seigneur, magnifie-le! Tes vêtements, purifie-les! Et l’impureté, fuis-là! Et la Révélation de reprendre avec ardeur et continuité.Le hadith rapporté par Yahya ben Bukayr a été aussi rapporté par ‘Abd-ul-Lâh ben Yusuf et par Abu Sâlih. De même, il a été aussi rapporté par Hilâl ben Raddâd, mais cette fois d’az-Zuhry
HADITH 0005
D’après Sa’id ben Jubayr, ibn ‘Abbâs à propos de: N’agite pas ta langue pour le hâter dit : « Le Messager de Dieu cherchait à apaiser la souffrance que lui causait la Révélation; pour ce faire il lui arrivait de remuer les lèvres. » (Et ibn ‘Abbâs de dire aux présents: « regardez! je vais les remuer comme le faisait le Messager de Dieu. » Et Sa’id de dire à son tour: « Je vais les remuer comme j’ai vu ibn ‘Abbâs le faire », et il remua ses lèvres.)
Dieu, Exalté Soit-il, révéla alors:
… N’agite pas ta langue pour le hâter: à Nous de l’assembler et d’en fixer la lecture. Autrement dit, expliqua ibn ‘Abbas: C’est à Dieu qu’incombe de rassembler le Coran dans ta poitrine pour te faciliter sa récitations
… et quand Nous l’aurons lu, suis-en bien la lecture.
C’est-à-dire: Ecoute et sois attentif à sa récitation.
… et c’est encore à Nous d’en assurer les effets d’expression.
C’est-à-dire: Ensuite c’est à nous de te le faire réciterAprès ces versets, Le Messager de Dieu, lorsque Jibril (l’archange Gabriel) venait le trouver, écoutait la récitation de celui-ci. Et une fois l’archange parti, le Prophète récitait le coran exactement de la même manière que lui.
HADITH 0006
D’après Yûmus et Ma’mar, az-Zubry dit: ‘Ubayd-ul-lâh ben ‘Abd-ul-Lâh me rapporta qu’ibn ‘Abbas avait dit: « D’entre les hommes, le Messager de Dieu était le plus généreux. Et cette générosité augmentait surtout durant le mois de ramadan après avoir rencontré Gabriel. Ce dernier, à chaque nuit de ramadan, venait pour l’enseignement du Coran; après quoi, le Messager de Dieu devenait plus généreux que le vent porteur de pluie ».
HADITH 0007
Ubayd-ul-Lâh ben ‘Abd-ul-Lâh ben ‘Utba ben Mas’ûd dit qu’Abd-ul-Lâh ben ‘Abbâs l’informa que ‘Abu Sufuân ben Harb l’avait informé de ceci :
Durant la trêve d’al-Hudaybiya que le Messager de Dieu avait conclue avec les mécréants de Quraych et Abu-Sufyân, et au moment où celui-ci était en Syrie, dans une caravane de quelques marchands Quraychites, il (Abu Sufyân) se vit mandé par Héraclius qui se trouvait ‘avec sa suite) à Ilya’ (Jérusalem) au moment où ses émissaires arrivèrent auprès d’Abu Sufyân.Il (Héraclius) les convoqua alors qu’il était entouré des grands personnages de Byzance. A l’arrivée des Quraychites, Héraclius les invita à se rapprocher… avant de convoquer son interprète pour leur demander:
« Lequel d’entre vous est le plus proche de cet homme qui prétend être un prophète ? » « moi » répondit Abu Sufyân.
« Qu’on le fasse rapprocher ! » commanda Héraclius
« et qu’on fasse aussi rapprocher ses compagnons en les mettant derrière lui »
Ensuite, Héraclius s’adressa à son interprête :
« Dis-leur que je vais interroger celui-ci sur cet homme qui prétend être un prophète; s’il ment signalez-moi la chose! »
Et Abu Sufyân de rapporter: « Par Dieu! si ce n’était la honte de les voir signaler mes mensonges, j’aurais menti sur le compte du Prophète. »La première chose sur laquelle il m’interrogea fut :
« Quel est le rang de sa famille ? »
« C’est un noble » répondis-je
« Y a-t-il quelqu’un avant lui qui a tenu de tels propos ? »
« Non »
« L’un de ces ancêtres était-il roi ? »
« Non »
« Est-ce les nobles qui le suivent ou c’est le bas-peuple ? »
« C’est plutôt le bas-peuple. »
« Le nombre de ses partisans est-il en croissance ou en décroissance ? »
« Leur nombre s’accroît. »
« Est-ce que l’un d’eux apostasie après avoir embrassé cette nouvelle religion ? »
« Non »
« L’accusiez-vous d’être un menteur avant cela ? »
« Non! »
« Est-il perfide ? »
« Non, mais cette période est une période de trêve et nous ne savons pas comment il va agir. » Cette phrase fut la seule que je pus dire contre le Prophète.« L’avez-vous combattu ? » reprit Héraclius.
« Oui »
« Comment était la chose ? »
« Tantôt c’était nous qui emportions la victoire, tantôt c’était lui. »
« Que vous recommande-t-il ? »
« Il nous recommande d’adorer Dieu, Seul et sans aucun associé, de délaisser les croyances de nos pères, d’observer la prière et véracité, et d’être chaste. Enfin, il nous recommande aussi de maintenir les liens de parenté. »Sur ce, Héraclius s’adressa à son interprète et lui dit :
« Dis-lui ce qui suit : Je t’ai interrogé sur son rang social et tu m’as répondu qu’il était noble. Or, les apôtres ont toujours appartenu aus familles les plus nobles. Je t’ai demandé s’il avait déjà été précédé par une autre personne sur ce sujet et tu m’as répondu négativement. Si ta réponse était affirmative, j’aurais dit que cet homme veut imiter une personne qui l’a déjà précédé. Aussi, je t’ai demandé si l’un de ses ancêtre était roi et tu m’as dit que non. Si par hasard l’un de ses ancêtres était roi, j’aurais cru qu’il veut avoir le trône de son père. Je t’ai en plus interrogé s’il était accusé de mensonge ou non, et tu m’as répondu que non. Ainsi, j’ai su qu’il ne pouvait guère mentir sur le compte du Seigneur tant qu’il a évité ce défaut à l’égard des hommes. Je t’ai aussi interrogé au sujet de ses partisans, et tu m’as dit que c’était le bas-peuple. Eh bien! sache que le bas-peuple a toujours été le partisans des prophètes. Et je t’ai ensuite demandé au sujet du nombre de ces partisans-là: augmente-il ou diminue-t-il ? et tu m’as dit qu’il était en croissance continue; et c’est ainsi le cas de la foi: elle augmente toujours. Quant à la conviction des nouveaux convertis, tu m’as dit qu’aucun d’eux n’apostasiait, et c’est bien là le cas de la foi quand sa douceur se mélange avec le coeur. Et sur ses engagements, tu m’as répondu qu’il ne les trahissait jamais, c’est là aussi un caractère qui appartient aux Messagers. Enfin, tu m’as dit qu’il vous recommandait d’adorer Dieu, Seul, et de ne rien Lui associer et qu’il vous exhortait à ne pas adorer les idoles, d’accomplir la prière, d’être véridique et décent. Maintenant, si ce que tu viens de dire est vrai, cet homme s’emparera même de cet endroit où je suis. Je savais bien qu’un tel personnage apparaîtra mais je n’avais jamais pensé qu’il serait l’un de vous! Si je savais que je pourrais parvenir jusqu’à lui, j’aurais tout fait pour le rencontrer; et si j’étais auprès de lui, je lui aurais lavé les pieds. »Après cela, Héraclius demanda la lettre que le Messager de Dieu avait envoyée avec Dihya au gouverneur de Bosrâ et que ce dernier avait envoyée à Héraclius.Il la lut donc et y trouva:
Au nom de Dieu, le Tout miséricorde, le Miséricordieux.
De Muhammad, le serviteur de Dieu et son Messager, à Héraclius, le grand chef des Byzantins.
Que le salut soit sur celui qui suit la Guidance! Je t’appelle selon la formule de l’Islam: embrasse l’Islam et tu seras sauvé; tu auras de la part de Dieu une double récompense.
Si jamais tu refuses tu assumeras les crimes commis contre les Ariens. O vous qui avez reçu l’Ecriture, adoptons une formule valable pour nous et pour vous impliquant que nous n’adorerons que Dieu, que nous ne lui associerons rien d’autre, que nous ne prendrons point les uns parmi les autres des maîtres en dehors de Dieu. S’ils refusent, dites-leur: « Soyez témoins qu’à la volonté de Dieu nous sommes soumis ».
Et une fois la lecture de la lettre terminée, un grand bruit et des voix hautes s’élevèrent. On nous fit sortir et je dis ensuite à mes compagnons: « L’affaire d’ibn Abu Kabcha devient grave. Voilà que le roi des Byzantins le redoute maintenant! » Et c’est à partir de ces évènements que je fus sûr que le Prophète triomphera. En effet, Dieu m’a guidé vers l’Islam.
Az-Zuhry de ‘Ubayd-ul-Lâh dit : Ibn an-Nâtûr, le gouverneur de ‘Ilyâ, l’ami de Héraclius et l’évêque des Chrétiens de Syrie rapporte ceci: A son arrivée à ‘Ilyâ , Héraclius devint d’une mauvaise humeur. Quelques patriarches lui dirent : »Ton air nous laisse craintifs! »Héraclius, qui était devins et aimait l’astrologie, répondit à leur question en disant :
« Cette nuit, en contemplant les étoiles, j’ai vu que le seigneur des circoncis est apparu, Quel est le peuple qui pratique la circoncision ? Ce sont les Juifs, répondit-on, mais il ne faut guère leur attacher de l’importance. Envoie plutôt dans les cités de ton royaume afin qu’on y tue tous les juifs. »Entre temps, l’émissaire du roi de Ghasân arriva et informa Héraclius au sujet du Messager de Dieu. Héraclius donna ensuite l’ordre de voir si cet émissaire était circoncis ou non. La réponse fut affirmative, et on interrogea alors ce messager si les Arabes pratiquaient la circoncision ou non, et la réponse fut de nouveau affirmative. et Héraclius de s’écrier: » Voilà que le seigneur de ce peuple est apparu! » Il adressa une lettre à un de ses amis qui était aussi savant que lui et qui habitait à Rûmiya (Rome), puis se dirigea vers Hims (émèse). La réponse à sa lettre arriva avant son arrivée à Hims, son contenu concordait avec son avis: Muhammad est vraiment un prophète. Héraclius donna alors l’ordre de faire venir à son palais de Hims les personnalités de Byzance et de fermer toutes les portes derrières eux. Cela fait, il leur dit :
« O Byzantins ! Voulez-vous suivre la bonne voie et conserver votre règne ? Prêtez allégeance à cet homme ! »En entendant cela, les présents s’effarouchèrent comme des ânes sauvages et se dirigèrent vers les portes, mais ils les trouvèrent fermée. Voyant leur réaction hostile à l’égard de l’Islam, Héraclius donna l’ordre de les ramener puis leur dit :
« Je n’ai fait cela que pour voir votre attachement à votre religion. Je l’ai vu… »
Sur ce, ils se prosternèrent devant sa personne et se montrèrent satisfait de lui.Rapporté par : Sâlih ben Kaysân, Yûnus et Ma’mar, et ce d’az-Zuhry
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Secours islamique : Zakât Al Maal, un devoir pour les uns, un droit pour les autres.
Zakât Al Maal : un devoir pour les uns, un droit pour les autres.
Zakât Al Maal signifie littéralement «purification». Cet «impôt social purificateur» est le 3ème pilier de l’Islam. Il désigne l’aumône que chaque musulman, possédant une richesse minimum (appelée Nissab), doit verser afin de subvenir aux besoins des plus démunis.
« Prélève de leurs biens une aumône par laquelle tu les purifies et les bénis… » (Coran, S.9 V.103)
A travers cette injonction de Dieu, le serviteur qui possède la valeur du Nissâb¹ (équivalent de 85g d’or estimé à 2 715 € en octobre 2015) doit s’acquitter de 2,5%² du montant total de ses biens.
Pour le donateur, l’acquittement de la Zakât Al Maal est une manière de remercier Dieu de ses bienfaits tout en purifiant son argent.
Pour le bénéficiaire, c’est la preuve qu’il existe une justice sociale et cela lui permet donc de percevoir une aide pour s’en sortir.
[1] Seuil de richesse à partir duquel la Zakât est obligatoire.
[2] Le taux applicable est de 2,5% pour l’année lunaire et de 2,579% pour l’année solaire (grégorienne).
LA ZAKÂT AL MAAL AU SERVICE DE PROJETS UTILES ET DURABLES
En France comme à l’international, le Secours Islamique France utilise votre Zakât dans la réalisation de projets humanitaires d’urgence et de développement en respectant la tradition musulmane et les valeurs humanitaires universelles.
*Les autres programmes : Projets d’accès à l’eau au Pakistan, Maroc et Tchad, lutte contre le choléra au Mali, élevage de chèvre au Sénégal, etc.
Pour verser votre Zakât, le SIF met à votre disposition 3 fonds :
– Le Fonds Zakât Al Maal, utilisé pour mettre en œuvre des projets humanitaires en France et à l’International
– Le Fonds Zakât Al Maal France qui contribue uniquement à la réalisation de Missions Sociales France (Epi’Sol, Maraudes, distribution de repas…) ;
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Le mérite de la sourate 2, La vache ( al baqara )
Le mérite de la sourate 2, La vache ( al baqara )
D’après Sahl ibn Sad, le Messager de Dieu a dit :
« Toute chose a un sommet ; celui du Coran est la sourate La vache ( al baqara ). Celui qui de nuit, la récite chez lui, Satan n’osera pas accéder à sa maison durant trois nuits. Celui qui, de jour, la récite chez lui, Satan n’osera pas accéder à sa maison durant trois jours.«
D’après Abu Hurayra, le Messager de Dieu a dit :
« La sourate La vache ( al baqara ) contient un verset qui est le maitre de tous les autres versets. Il n’est récité dans un maison où le diable se trouve sans que ce dernier ne la quitte. Il s’agit du verset du Trône ( ayat al kursi )«
D’après Abu Dharr al-Ghifari, le Messager de Dieu a dit :
« Dieu a clos la sourate La vache ( al baqara ) par deux versets qu’Il m’a donnés de Son trésor qui se trouve sous le Trône. Apprenez-les donc puis enseignez-les à vos femmes et enfants ; car, en fait, ils sont destinés à la prière, la récitation et l’invocation.«
D’après Abd Allah ibn Mas-ud, le Messager de Dieu a dit :
« Les deux derniers versets de la sourate La vache ( al baqara ) protègent celui qui les récite de nuit.«
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