Sous-chapitre 75
Sur les ablutions majeures lorsqu’on embrasse l’Islam dans la mosquée
Sur le fait d’attacher le prisonnier dans la mosquée
ablutions majeures
hadith 0317 – Les menstrues – Sur le fait que la femme dénoue ses cheveux en voulant faire des ablutions majeures à cause des menstrues.
Ils t’interrogent sur les menstrues. Dis : C’est une affections. Eloignez-vous des femmes en cours de menstruation. N’approchez d’elles qu’une fois purifiées. Quand elles seront en état, allez à elle par où Dieu l’a pour vous décrété. Dieu aime les enclins au repentir. Il aime les scrupuleux de pureté. (sourate 2, verset 222)
Sous-chapitre 16
Sur le fait que la femme dénoue ses cheveux en voulant faire des ablutions majeures à cause des menstrues.
HADITH 0317
Aicha dit : A notre sortie pour le pèlerinage, la nouvelle lune du mois de dhu-l-hidja était à son début. Le Messager de Dieu nous dit :
« Que celui qui veut se sacraliser pour la omra, le fasse ! car je l’aurais fais moi aussi si je n’avais pas eu l’intention de faire le sacrifice. »
Sur ce, quelques-uns observèrent la sacralisation pour la omra mais d’autres l’observèrent pour le hajj.
Quand à moi, j’étais de ceux qui observèrent la sacralisation pour la omra, mais je fus surprise par mes menstrues le jour de Arafa. Je me plaignis alors auprès du Prophète qui me dit :
« Renonce à ta omra, dénoue tes cheveux, peigne-toi et commence une sacralisation pour un hajj ! »
C’est ce que je fis, et ce jusqu’à l’arrivée de la nuit d’al-Hasba où le Prophète envoya avec moi mon frère Abd-ar-Rahman ben Abu Bakr. Je sortis à at-Tanim et là je commençai une sacralisation pour une omra, à la place de ma première omra.
Hicham dit : En tout cela il n’y avait ni sacrifice d’une bête, ni jeûne, ni aumône.
Allez au,
sommaire
<– Sous-chapitre précédent – Sous-chapitre suivant –>
<– chapitre précédent – chapitre suivant –>
hadith 0316 – Les menstrues – Sur le fait que la femme se peigne les cheveux pendant ses ablutions majeures qu'elle observe à cause des menstrues
Ils t’interrogent sur les menstrues. Dis : C’est une affections. Eloignez-vous des femmes en cours de menstruation. N’approchez d’elles qu’une fois purifiées. Quand elles seront en état, allez à elle par où Dieu l’a pour vous décrété. Dieu aime les enclins au repentir. Il aime les scrupuleux de pureté. (sourate 2, verset 222)
Sous-chapitre 15
Sur le fait que la femme se peigne les cheveux pendant ses ablutions majeures qu’elle observe à cause des menstrues
HADITH 0316
Urwa rapporte : Aicha dit : « Pendant le pèlerinage de l’Adieu, je me mis en état de sacralisation (ihram) avec le Messager de Dieu. Mais J’étais de ceux qui firent le tamatu sans toutefois présenter une bête pour le sacrifice (hady). »
Aicha rapporte avoir eu ses menstrues et que l’écoulement du sang ne prit fin qu’à la nuit de Arafa. Elle dit :
« O Messager de Dieu ! voici la nuit de Arafa… Je viens de commencer un tamatu de umra. »
Le Messager de Dieu lui dit :
« Dénoue tes cheveux, peigne-toi et renonce à ta umra.«
Et, c’est ce que je fis, dit Aicha. Mais à la fin du hajj, le Prophète, à la nuit d’al-Hasba, donna l’ordre à Abd-ar-Rahman de m’amener faire la umra à partir d’at-tanim.
Allez au,
sommaire
<– Sous-chapitre précédent – Sous-chapitre suivant –>
<– chapitre précédent – chapitre suivant –>
hadith 0315 – Les menstrues – Sur les ablutions majeures à cause des menstrues
Ils t’interrogent sur les menstrues. Dis : C’est une affections. Eloignez-vous des femmes en cours de menstruation. N’approchez d’elles qu’une fois purifiées. Quand elles seront en état, allez à elle par où Dieu l’a pour vous décrété. Dieu aime les enclins au repentir. Il aime les scrupuleux de pureté. (sourate 2, verset 222)
Sous-chapitre 14
Sur les ablutions majeures à cause des menstrues
HADITH 0315
Aicha dit : Une femme des Ansar dit au Prophète :
« Comment dois-je faire des ablutions majeures à cause des menstrues ? »
« Prends un morceau de laine parfumé de musc« , répondit le Prophète par trois fois,
« Puis fais des ablutions mineures (peut-être qu’il ajouta : en en faisant usage) ! »
Après cela, pris d’un sentiment de pudeur, il détourna son visage. Et moi (Aicha) de tirer cette femme vers moi pour lui expliquer ce que le Prophète voulait dire.