abraham
AÏD AL ADHA 1434 , PARTAGEONS AVEC CEUX QUI SONT DANS LE BESOIN
Le Sacrifice, tout en étant destiné à Dieu, doit être partagé avec les hommes : un moment de convivialité avec les amis et les voisins, mais surtout un temps spirituel de solidarité avec les pauvres.
L’an dernier, plus d’un demi million de personnes ont bénéficié des colis de viande.
Avantages :
– S’acquitter de son obligation religieuse
– Lutter contre la faim et la malnutrition
– Redonner le sourire aux familles
L’an dernier, plus de 650 000 personnes ont bénéficié des colis de viande de l’Aïd en France et dans 16 pays repartis à travers le monde.
Dès à présent, et jusqu’au 3ème jour de l’Aïd, vous pouvez faire un don en ligne ou nous contacter au 01 60 14 14 14 (carte bancaire ou promesse de don).
Le Sacrifice par procuration (Al Wakala)
Conformément à la tradition prophétique, les foyers qui ne peuvent pas accomplir eux-mêmes le rituel du sacrifice, ou veulent offrir aux nécessiteux la chance de pouvoir aussi célébrer dignement l’Aïd, peuvent donner procuration à autrui. Il s’agira alors, pour vous, de formuler intimement l’intention de nous charger de le faire à votre place. Le Secours Islamique s’engage à respecter pleinement le souhait du donateur en sacrifiant un animal entier, en l’occurrence un mouton ou l’équivalent en boeuf, chameau… selon la spécificité du pays.
Ce sacrifice est fait conformément à la tradition islamique tant dans le choix de l’animal qu’au niveau de l’immolation. Prix des sacrifices selon le pays
A partir de 53 €, vous pouvez offrir un sacrifice, à des personnes dans le besoin :
A noter que ce ne sont pas plusieurs dons qui permettront de financer un seul sacrifice mais bien un don pour un sacrifice dans
l’un des pays concernés : 1 don = 1 sacrifice L’importance du Fonds Sacrifice
Le prix de 136 €, est le tarif moyen des sacrifices de l’ensemble des pays. Si vous soutenez ce Fonds, nous nous engageons à exécuter votre sacrifice par procuration dans le pays où le besoin est le plus important. Le Secours Islamique s’est toujours accordé à respecter scrupuleusement la jurisprudence musulmane concernant le sacrifice d’une bête au nom du donateur.
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Ibrahim (Abraham)
Ibrahim (Abraham)
Ibrahim (arabe : إبراهيم) est le nom d’Abraham dans l’islam et pour les chrétiens arabophones . Il porte le surnom de Hanifa, et est communément appelé Khalil Allah (l’ami intime de Dieu). Ibrahim est l’un des prophètes de l’islam, et il joue un rôle essentiel dans la foi musulmane, l’islam se percevant comme la continuité de la foi d’Ibrahim. Celui-ci est généralement présenté aux musulmans comme le modèle du croyant, par sa soumission à Allah, qui est commémorée annuellement par l’Aïd al adha.
Dans le coran
Ibrahim est cité plusieurs fois dans le Coran, et la sourate 14 porte traditionnellement son nom. La jeunesse d’Ibrahim y est évoquée, en particulier sa querelle avec son père, qui symbolise l’ancienne croyance polythéiste. Le coran évoque également sa découverte de la foi monothéiste, présentée comme une émanation de sa raison.
Dans le passage du Coran relatant cet épisode, Ibrahim se cherche un dieu et désigne tout d’abord une étoile comme son seigneur. Mais celle-ci disparaît, à sa grande déception. Par la suite, il fait de même pour la Lune, puis le Soleil. Mais ils finit par renier toutes les idoles adorées par son père et ses pairs, et se tourne vers « Celui qui a créé (à partir du néant) les cieux et la terre ».
Dans le coran, Ibrahim choisit un jour de ne pas participer à une fête solennelle, prétextant qu’il est malade, et profite de l’absence des autres pour détruire toutes les idoles de son village, à l’exception d’une d’entre elles. Accusé de cet acte de destruction sacrilège, il affirme que c’est l’idole restante, la plus grande d’entre elles, qui est responsable, et défit les autres villageois de la faire témoigner, cherchant ainsi à démontrer qu’il ne s’agit que d’une simple statue, et non d’un être divin. Pour ces actes, Ibrahim est condamné à être brûlé, mais Dieu le sauve.
Cet épisode est proche de la tradition hébraïque, notamment du midrash Abraham, les idoles et Nemrod. Selon le Coran, il inspire plus tard Mahomet, lorsqu’il revint d’exil, à la prise de la Mecque, où il détruisit des idoles.
Ibrahim est l’époux de Sarah, réputée pour sa beauté, et qu’il présente comme sa sœur. Celle-ci attire l’attention du pharaon, qui tente d’abuser d’elle. Dieu intervient et le Pharaon, paralysé, ne parvient pas à la toucher. Il rend à Ibrahim son épouse et lui offre de nombreux présents, que Ibrahim refuse d’accepter. Il propose à Sarah de prendre une servante parmi les quatre cents jeunes filles de son royaume. Elle choisit celle qui a un statut supérieur à toutes les autres, Agar, qu’elle apprécie dès sa première rencontre. Ibrahim, suivant le conseil de Sarah qui est stérile, épouse ensuite Agar qui lui donne un fils : Ismaël.
Sarah fait chasser Agar-devenue méchante envers elle- et son fils Ismaël. Ils errent dans le désert et seraient morts de soif si l’archange Gabriel n’était pas venu indiquer à Agar un puits plein d’eau. La tradition musulmane désigne généralement ce point d’eau comme le puits de Zamzam, en Arabie saoudite. La course d’Agar se lamentant de ne pas trouver d’eau à donner à son fils mourant est reproduite chaque année par les pèlerins musulmans lors du Hajj à La Mecque au cours d’une journée particulière entre Safâ et Marwah (saʿīy, سَعْيي, course; effort; recherche).
C’est alors que vient l’ordre divin de sacrifier Ismaël, ce fils unique qui a grande importance aux yeux d’Ibrahim. La tradition place cet évènement près de La Mecque, à l’emplacement nommé Mina. Le récit coranique ne nomme pas explicitement le fils sacrifié, mais le contexte suggère fortement que c’est Ismaël, jouant sur l’ambiguïté du « fils unique » (Genèse/Bereshit 22:2 ; Coran 37:99–111 cf. infra). Les Hadiths sont, par contre, plus explicites.
Trois anges, sous la forme d’hommes, lui annoncent la naissance d’un fils de Sarah (Isaac), malgré leur vieillesse et la stérilité de sa femme qui est également ménopausée. D’après Tabarî, il s’agit des trois archanges : Gabriel, Michel et Israfil. Les anges lui font savoir également qu’ils sont envoyés par Dieu pour détruire le peuple de son neveu, Loth, qui sera sauvé lui et sa famille, excepté sa femme qui fait partie des damnés.
Il reconstruit la Maison Sacrée du Très-Haut (la Ka’ba) avec l’aide d’Ismaël. Elle était originellement construite par Adam, mais fut détruite par le déluge au temps de Noé. Ainsi Dieu donna l’ordre à Ibrahim de la rebâtir à l’endroit où il avait laissé son fils aîné s’établir. Dieu lui aurait également montré comment il ressuscitera les morts le jour de la Résurrection. Selon les traditions musulmanes, Ibrahim est enterré à Hébron.
Les tribus arabes ismaélites, dont celle du prophète Mahomet, les Quraychites, se considèrent traditionnellement comme des descendants directs d’Ismaël, induisant une filiation entre Mahomet et Ibrahim.
Le sacrifice demandé à Ibrahim
L’épisode du sacrifice demandé à Ibrahim par Dieu est d’un importance majeur dans l’islam. Selon le coran, Ibrahim accepte d’immoler son fils comme Dieu l’ordonne, se privant ainsi de toute descendance. Il le dit à Ismaël qui accepte puisque c’est Dieu qui lui a demandé. Lorsque Ibrahim va égorger son fils, le Setan (diable) dit à Ibrahim: « Tu es devenu fou tu ne vas quand même pas tuer ton propre fils » Après ces paroles Ibrahim jette quelques petites pierres sur le Setan qui s’enfuit et qui va voir Ismaël et lui dit: « Ton père il perd la tête il veut te tuer et toi tu accepte » Après ces mots Ismaël jette lui aussi plusieurs petites pierres sur le Setan qui se rend immediatement chez Agar (femme d’Ibrahim) Il lui dit: « Ton mari devient fou avec l’âge il est entrain de tuer votre fils » Agar lui jette des pierres (c’est pour cela que les pelerins jette trois minuscules pierres (un peu plus grosse qu’un pois chiche) sur quelque chose qui est censé representé le Setan(diable)). Au moment où Ibrahim va égorger Ismaël, l’ange Gabriel (en arabe : Gibril) arrête le bras d’Ibrahim et lui dit: « Dieu t’a demandé ça car il voulait tester ta foi. Maintenant, il t’offre ce bélier (ou mouton) égorge-le et pa
rtage le avec toute ta famille… Cet épisode de la tradition coranique est célébré annuellement par les musulmans au cours de l’Aïd Al Adha.
Le Coran et les Hadiths indiquent que le sacrifié était Ismaël, tandis que c’est Isaac pour le judaïsme et le christianisme. La tradition musulmane estime qu’Isaac ne fut jamais le fils unique d’Abraham, et que le texte original de la Torah portait selon toute vraisemblance Ismaël au lieu de Yitzhaq.
L'eau de ZAM-ZAM , voici son histoire….
Vous avez sans doute déjà entendu parler de l’eau de ZAM-ZAM, qui se trouve dans un puit à la Mecque, mais connaissez-vous son histoire ?
et bien, la voici :
Il y a des siècles de cela, Hajra (femme d’Abraham, que Dieu soit satisfait d’eux) cherchait désespérément de l’eau dans les collines de Swafa et Marwa pour nourrir son nouveau-né le respecté Ismail (Que la Paix de Dieu soit sur lui). Elle courut d’un endroit à un autre (Elle courut à 7 reprises entre les monts ; ce que les pèlerins répètent au cours de leur Hajj annuel et connu sous le nom de Sa’i) à la recherche de l’eau jusqu’à ce que son enfant frotta ses pieds contre le sable et qu’une flaque d’eau fit surface. Par la Grâce de Dieu (l’Exalté et le Magnifié), cette source d’eau fut appelée Zam-Zam.
Eau sacrée de Zam-Zam (Ma’ Zemzem bouteille 500 ml)
Si vous en avez envie, cliquer simplement sur l’image pour l’acheter
Je vous propose de lire une étude réaliser sur l’eau de ZAM-ZAM , que j’ai trouver sur le blog de mon ami d’Algérie, Mohamed Chérif KHOUAIDJIA (Qu’Allah le protège, lui et sa famille), qui révelle les bienfaits de cette eau.
L’Eau de Zam–Zam, un miracle permanent
25-11-2007
Nous allons remonter un peu dans le temps afin de comprendre comment tout a commencé
En 1971, un médecin Égyptien écrivit, dans la presse Européenne, une lettre montrant que l’eau de Zam-Zam n’est pas buvable.
J’ai pensé immédiatement que c’était juste une forme de préjudice contre les Musulmans et que son argument était basé sur une hypothèse : depuis que les fondations de la Ka’aba ont été établies (à un niveau inférieur au niveau de la mer ) et qu’elle est située au centre de la cité de Makkah, le réseau des eaux usées de la cité collectait, au travers des canalisations, les eaux et les déversait dans le puits [sacré].
Par la suite, l’information parvint aux oreilles du roi Fayçal et le mit en colère. Il ordonna une étude afin de réfuter l’affirmation provocatrice du Docteur Égyptien. Il ordonna immédiatement au Ministère de L’Agriculture et des Ressources Fluviales de prélever et d’envoyer les échantillons de Zam-Zam aux laboratoires Européens pour analyser le caractère potable ou non de l’eau.
Le Ministère instruit alors le dossier et confia cette tâche au bureau de l’usine de désalinisation de Jeddah. C’est dans ce bureau que j’étais employé comme ingénieur en désalinisation (spécialité chimie) dans la production d’eau potable à partir de l’eau de mer. Je fus choisi pour cette assignation. A ce stade de l’étude, je n’avais encore aucune idée du puits qui contenait la source d’eau.
Je partis à Makkah et fis part aux autorités de la Ka’aba du but de ma visite. Ils déléguèrent une personne pour me donner toute l’aide requise.
Quand nous atteignîmes la source de Zam-Zam, il était difficile pour moi de croire qu’un réservoir d’eau, pas plus grand qu’un bassin de 18 pieds (5,48m)sur 14 pieds (4,26m), constituait la source qui fournit un million de gallon (4,546 millions de litres) d’eau tous les ans aux pèlerins du Hadj et ce, depuis qu’est venu le respecté Prophète Abraham (Que la Paix soit sur lui) il ya des siècles de cela.
J’ai démarré mes recherches et mesuré les dimensions du puits. J’ai demandé à mon collaborateur de me montrer la profondeur de la source.Premièrement il a pris une douche et il est rentré dans le bassin d’eau. Ensuite, il a redressé son corps et j’ai consulté que le niveau de l’eau arrivait juste au-dessus de ses épaules. Sa hauteur est d’environ cinq pieds et huit pouces (1,724m).
Il commença à se mouvoir d’un coté à l’autre du bassin (tout en restant debout tout le temps car il ne lui fut pas autorisé de plonger sa tête dans l’eau) à la recherche de quelque fissure ou d’un canal à l’intérieur du puits qui acheminerait de l’eau dans le bassin. L’homme me dit qu’il ne trouva aucune fente ni de pipe-line à l’intérieur du puits.
J’eus une autre idée : retirer l’eau rapidement par une grosse pompe installée à la source même de Zam-Zam et l’accumuler dans d’immenses réservoirs d’eau. Ainsi, le niveau de l’eau descendrait et nous permettrait de situer le point d’entrée de l’eau. A notre grande surprise, rien n’a été observé pendant la phase de pompage, mais je savais que c’était la seule méthode qui pouvait trouver la catalepsie (perte de mouvement volontaire avec conservation des niveaux) de l’eau à la source. Aussi, je décidais de répéter l’opération. Mais cette fois, je demandai à l’homme de rester immobile à un endroit et d’observer avec attention toute chose inusuelle survenant à l’intérieur de la source.
Après quelque temps, il leva soudainement ses mains et cria « Louanges à Dieu ! Je l’ai trouvé : le sable bouge au-dessous de mes pieds et l’eau s’ « échappe du sol du puits ».
Il fit le tour de la source pendant la phase de pompage et observa le même phénomène dans tout le bassin. Actuellement, le flux de l’eau au sol même du bassin est régulier à chaque point ; ce qui maintient le niveau d’eau de manière égale.
Après avoir noté mes observations, j’ai réalisé des prélèvements d’eau pour que les laboratoires Européens l’analysent. Avant de quitter la Ka’aba, j’ai demandé aux autorités de m’indiquer les autres sources d’eau autour de Makkah. Ces sources étaient pour la plupart sèches.
Quand je suis revenu à mon bureau de Jeddah, j’ai rapporté mes découvertes à mon supérieur hiérarchique ; il m’a écouté avec un grand intérêt mais il fit un commentaire très irrationnel : La source de Zam-Zam est peut-être intérieurement connecté à La Mer Rouge…Comment était-ce possible alors que Makkah est situé à 75 kilomètres de la mer et que les sources situées avant la cité restent habituellement sèches ?
Par ailleurs, les résultats de l’analyse de l’eau par les laboratoires Européens et celle faite par notre bureau se révélèrent identiques. La seule différence entre l’eau de Zam-Zam et les autres eaux réside dans la quantité de Calcium et de Magnésium. Leur quantité est légèrement supérieure dans l’eau de Zam-Zam. C’est pourquoi cette eau rafraîchît les pèlerins fatigués ; de plus, elle contient des fluorides qui ont une action antiseptique et purificatrice. Mais la chose importante des laboratoires Européens était de montrer que l’eau est éminemment potable ; ce qui démentit l’information du médecin Egyptien. Et le roi Fayçal fut heureux des résultats de cette recherche si bien qu’il s’empressa d’ordonner une rectification officielle dans la presse Européenne.
En réalité, cette étude fut un bienfait en montrant la composition chimique réelle de l’eau. De fait, plus vous faites des recherches,plus vous découvrez des merveilles. Et plus vous renforcez la croyance à ce miracle permanent de l’eau de Zam-Zam, cette eau que Dieu a donné en cadeau aux fidèles venant de par le monde entier vers cette terre désertique afin d’accomplir le pèlerinage.
Ajoutons certains caractères particuliers de cette eau de Zam-Zam :
- Ce puits ne s’est jamais asséché. Au contraire, il a toujours satisfait à la demande d’eau.
- Le bassin est toujours resté comme il l’était auparavant.
- Sa potabilité a toujours été universellement reconnu par les pèlerins du monde entier lors de leurs visites à la Ka’aba tous les ans pour le Hadj ** et la Oumrah***. Et ils ne s’en sont jamais plaint ou fait une réclamation. Au contraire, ils ont toujours aimé cette eau qui les rafraîchit.
- L’eau a un goût différent d’un endroit à l’autre de la terre. Le goût de Zam-Zam a toujours gardé le même (goût) universel.
- Cette eau n’a jamais été traitée chimiquement ou chloré tel que c’est le cas avec les eaux des différentes cités du monde.
- La croissance biologique de la végétation a lieu habituellement dans la quasi-majorité des puits ; Ce qui rend l’eau peu satisfaisante au goût.La prolifération des algues entraîne en plus d’un goût peu savoureux, des odeurs peu agréables. Mais dans le cas de Zam-Zam, il n’y a pas une quelconque croissance biologique !!!
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Eau sacrée de Zam-Zam (Ma’ Zemzem bouteille 500 ml)
Remarque : Ceci est un tarif promotionnel. Vu les frais élevés d’envoi dû au poids. Achat maximum d’un pack de 12 bouteilles par commande.
Eau sacrée de Zamzam en provenance directe de La Mecque, embouteillée en Arabie Saoudite.
Il est possible de se laver avec dans un but de bénédiction ou de soin ou de Roqya.
Eau de Zam-Zam pure mise en bouteille en Arabie Saoudite à partir de la source d’eau Zam-Zam. Le tout disposé dans une bouteille en plastique transparent.
Quels sont les avantages de l’eau de Zamzam ?
L’eau de Zam-Zam jaillit après que Gabriel (PSL) eut frappé [le sol] de son aile (Sahih Al-Boukhari, 3364). C’est un abreuvoir aménagé par Dieu pour Ismaïl (PSL) et sa mère Hajar. Le coeur du Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) a été lavé à l’aide de l’eau de ZamZam. Ses mérites et avantages font l’objet de hadith authentiques :
- le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) a dit : « La meilleure eau sur terre est celle de Zam-Zam ; elle est nutritive et curative ». (Sahih al-Djami, 3302) ;
- Il a été rapporté de façon sûre que le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) en but, fit ses ablutions et en déversa sur sa tête. Le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) avait l’habitude d’en emporter dans des outres et bacs, il en abreuvait les malades et les en aspergeait. (As-Silsila as-sahiha, 883) ;
- Le compagnon dit : « Nous l’appelions « la nourricière » et y trouvions un excellent soutien pour la famille (cela veut dire qu’elle remplaçait la nourriture et en tenait lieu pour les enfants » (as-silsila as-sahiha par al-Albani, 2685) ;
- Le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) disait : « l’eau de Zam Zam est utile à tout ce pourquoi elle est bue ». (Rapporté par Ibn Madja, 3062). Ce hadith est beau. Des ulémas et de pieuses personnes en ont fait l’expérience et l’ont bue avec l’intention d’obtenir la satisfaction de besoins et la réalisation de certaines choses telles la guérison d’une maladie, l’éloignement de la pauvreté et la dissipation d’un souci. Et Allah les leur a facilités. Allah le Très Haut le sait mieux.
Pure Zam Zam water imported from Mecca, Saudi Arabia.