Si vous êtes en état d’impureté, alors purifiez-vous. Si vous êtes malades, ou en voyage, ou revenez de la selle, ou avez touché à des femmes et ne trouviez pas d’eau, utilisez en substitution un sol sain pour en passer sur votre visage et vos mains. Dieu ne veut vous imposer aucune gêne, mais vous épurer, parfaire sur vous son bienfait, escomptant que vous en aurez gratitude (sourate 5, verset 6).
Vous qui croyez, n’approchez la prière ni en état d’ivresse, avant de savoir ce que vous dites, ni en état d’impureté, sauf quand vous êtes en chemin, avant d’avoir pratiqué une ablution majeure, sauf si vous êtes malades, ou en voyage, ou revenant de déféquer, ou ayant touché à une femme, sans trouver d’eau: dans ce cas, recourez à un sol sain, effleurez-en votre figure et vos mains (sourate 4, verset 43).
Sous-chapitre 17
Si, une fois à la mosquée, on se souvient qu’on est atteint d’une janaba, on doit, dans cet état, sortir sans faire des ablutions sèches
HADITH 00275
Abu Hurayra dit : On fit l’appel du commencement de la prière, on aligna les rangs des fidèles qui étaient encore debout; et le Messager de Dieu arriva alors pour nous présider en prière. Mais, une fois debout dans son musalla (le musalla est l’endroit où l’on accomplie la prière), il se souvint de sa janaba. « Gardez vos places ! » nous dit-il, puis revint chez lui et fit des ablutions majeures. En revenant vers nous, sa tête dégouttait encore de l’eau. Enfin, il prononça le takbir et nous de prier avec lui.
Abd-al-‘A’la a aussi suivi Uthmân ben Umar dans ce hadith, mais en le tenant de Mamar, d’az-Zyhry…
Rapporté aussi par al-Awza’y
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