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SAWS est l'abrégé de : Salla Allahou alayhi Wa Salam
"Allah et ses Anges prient sur le Prophète. O croyants, priez pour lui et louez-le."
( Sourate 33, verset 56 ).

Et d'aprés Al-Husayn, le Prophète ( Salla Allahou alayhi wa Salam ) a dit :
"L'égoîste, c'est celui qui ne prie pas sur moi quand mon nom est prononcé en sa présence.",
Rapporté par Ahmad, At-Tirmidhi, an-Nassa'î.

hadith 0134 – La science – Sur celui qui répond à celui qui l'interroge avec des détails dépassant la question

hadith


Sous-chapitre 53
Sur celui qui répond à celui qui l’interroge avec des détails dépassant la question

HADITH 0134
D’après ibn Umar, une fois, un homme demande ce que la personne en état d’ihrâm (sacralisation) doit mettre comme habit. Le Prophète  répondit :
« Elle ne doit mettre ni tunique, ni turban, ni pantalon, ni burnous, ni habit touché par du wars (son nom scientifique est Memecylon tinctorium) ou du safran; et si elle ne trouve pas de souliers, qu’elle mette des bottines en les coupant de manière à ce qu’elles soient au-dessous des chevilles.« 

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hadith 0123 – La science – Sur celui qui, debout, interroge un savant assis


Sous-chapitre 45
Sur celui qui, debout, interroge un savant assis

HADITH 0123
Abu Mûsa rapporta : Une fois, un homme vint trouver le Prophète et lui dit :
« O Messager de Dieu ! qu’est-ce que c’est que de combattre pour la cause de Dieu ? car il y a parmi nous celui qui combat par colère et celui qui combat par emportement. »
Le Prophète leva alors la tête, il ne la leva que parce que l’homme était debout, et dit :
« Celui qui combat afin que la parole de Dieu ait le dessus, celui-là combat pour la cause de Dieu, Puissant et Majestueux.« 

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hadith 0122 – La science – Il est recommandé au savant de rapporter la chose à Dieu, une fois interrogé : "Parmi les gens, qui est le plus savant ?"


Sous-chapitre 44
Il est recommandé au savant de rapporter la chose à Dieu, une fois interrogé :
« Parmi les gens, qui est le plus savant ? »

HADITH 0122
Said ben Jubayr dit : J’ai dit une fois à ibn Abbâs :
« Nawf al Bakâly prétend que Moïse qui avait accompagné al-Khadir n’était pas Moïse des israélites, c’était, d’après lui, un autre Moïse… »
« il ment, cet ennemi de Dieu », répliqua ibn Abbâs,
« Ubay ben Ka’b m’a rapporté que le Prophète avait dit ceci :

« Une fois, Moïse le prophète se leva pour prêcher les béni Isra’il. On l’interrogea alors :
– Qui est le plus savant des gens ?
– Moi, je suis le plus savant, répondit-il, d’où Dieu lui reprocha cette réponse qui ne reporte pas le savoir à Lui; puis Il lui révéla ceci :
– Il y a, au confluent des deux eaux, un homme parmi Nos Homme qui est plus savant que toi.
– O Seigneur ! implora Moïse,

– comment le rencontrer ?
Mets un poisson dans un panier : lui expliqua-t-on, et une fois ce poisson perdu tu trouveras l’homme.
En effet, Moïse prit un poisson dans un panier et partit avec son page, Yûchu ben Nûn. A leur arrivée au rocher, ils succombèrent au sommeil, et le poisson, qui fut une surprise pour eux, de se faufiler du panier en direction de la mer. Quant à eux, ils continuèrent à marcher durant le journée et la nuit. Le lendemain matin, Moïse dit à son page :
– Apporte le déjeuner ! ce voyage nous a fatigués.
Or Moïse n’avait senti la fatigue le regagner que lorsqu’il dépassa l’endroit auparavant fixé.
– As-tu vu lorsque nous nous sommes mis sous le rocher ?
– C’est là-bas que j’ai oublié le poisson.
– C’est ce que nous cherchions, s’écria Moïse

Ils rebroussèrent chemin et une fois près du rocher ils virent un homme enveloppé dans un vêtement ou qui s’était enveloppé dans son vêtement. Moïse prononça le salam (le salut). Al-Khadit dit :
– Comment est-ce possible que le salam soit en usage dans votre pays ?
– Mais je suis Moïse !
– Moïse des béni Isrâ’il ?
– Oui, répondit Moïse avant de reprendre :
– Puis-je te suivre afin que tu m’enseignes de l’enseignement de la voie droite que tu as reçu ?
– Tu ne pourra être patient avec moi. ô Moïse ! dit al-Khadir;
– j’ai une partie de la science de Dieu que tu ne connais pas; et toi, tu as une Science qu’Il t’a enseignée et que je ne connais pas.
– Tu me trouvera patient, si Dieu le veut; et je ne te désobéirai en aucun cas.
Sur ce, ils prirent le chemin de la côte, ils n’avaient pas de navire. Et un bateau de passer devant eux. Ils demandèrent alors à ses occupants de les prendre avec eux. On reconnut al-Khadir, d’où on accepta de les embarquer gratuitement.
Un oiseau vint se poser sur le bord du bateau et piqua son bec une ou deux fois dans la mer. Al-Khadir dit :
– O Moïse ! ta science et la mienne n’ont été prises de la science de Dieu que comme la goutte qui vient d’être puisée de la mer par cet oiseau.
Il se dirigea ensuite à une planche du navire et l’enleva. Moïse dit :
– Ces gens nous ont embarqués gratuitement et te voilà en train de saborder pour noyer ses occupants !
– Ne t’ai-je pas dit que tu ne pourras être patient avec moi ?
– Ne m’en veux pas d’avoir oublié.
Ce fut le premier oubli de la part de Moïse.
Ils reprirent leur marche et au cours du chemin, ils virent un enfant en train de jouer avec d’autres enfants. Al-Khadir mit la main sur la tête de cet enfant et la lui arracha.
– Mais tu viens de tuer une âme innocente sans qu’il y eût crime de sa part !
– Ne t’ai-je pas dit que tu ne pourras être patient avec moi ? »
Là, Sufyân ibn Uyayana commente : Cela (le deuxième acte d’al-Khadir) est plus grave).
« Ils reprirent leur chemin, et une fois dans un village ils demandèrent à ses habitants quelques chose à manger mais on leur refusa l’hospitalité. Après quoi, ils virent un mur sur le point de s’écrouler. Al-Khadir le redressa. Moïse dit :
– Que n’as-tu consenti à prendre pour ce travail un salaire ?
– Ceci marquera notre séparation. »
Le Prophète dit enfin :
« Que Dieu soit miséricordieux envers Moïse ! Nous aurions bien voulu qu’il fût patient de sorte qu’il nous eût raconté plus de leur histoire.« 

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hadith 0103 – La science – Sur celui qui entend une chose et insiste à être éclairé


Sous-chapitre 36
Sur celui qui entend une chose et insiste à être éclairé

HADITH 0103
D’après ibn Abu Mulayka, chaque fois que Aicha, l’épouse du Prophète entendait ce qu’elle ne savait pas, elle l’examinait jusqu’à ce qu’elle fût éclairée.

Il avait aussi rapporté : Une fois, le Prophète a dit :
« Sera châtié celui de qui on exigera un compte, le jour du Jugement.« 
Et Aicha de rapporter : Je dis alors :
« Dieu, le Très-Haut, ne dit-Il pas : La reddition du compte lui sera facile ? (sourate 84, verset 8) »
« …Cela concerne le jour du Déploiement« , m’expliqua-t-il, « mais périra celui dont le compte sera minutieux. »

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