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hadith 0295 à 0296 – Les menstrues – Sur le fait que la femme ayant ses menstrues lave la tête de son mari et lui démêle les cheveux.

 


Ils t’interrogent sur les menstrues. Dis : C’est une affections. Eloignez-vous des femmes en cours de menstruation. N’approchez d’elles qu’une fois purifiées. Quand elles seront en état, allez à elle par où Dieu l’a pour vous décrété. Dieu aime les enclins au repentir. Il aime les scrupuleux de pureté. (sourate 2, verset 222)


Sous-chapitre 2

Sur le fait que la femme ayant ses menstrues lave la tête de son mari et lui démêle les cheveux.

HADITH 0295
Aicha dit : « Je démêlais les cheveux du Messager de Dieu alors que j’avais mes menstrues. »

HADITH 0296
D’après Hicham, Urwa fut interrogé : « Est-ce que la femme qui a ses menstrues peut me servir ? Et celle qui est en état de janaba, est-ce qu’elle peut m’approcher ? »
« Tout cela m’est sans gravité, et en toutes ces circonstances elle peut me servir. Il n’y a aucun mal à cela, pour quiconque. Aicha m’a rapporté qu’elle avait l’habitude de démêler les cheveux du Messager, alors qu’elle avait ses menstrues. Quant au Messager de Dieu, il observait en cette période-là une retraite spirituelle dans la mosquée : il lui approchait la t^te et elle, de sa chambre, elle lui démêlait les cheveux bien qu’elle avait ses menstrues. », répondit Urwa,

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hadith 0278 à 0279 – Les ablutions majeures – Sur celui qui se lave tout nu, seul, dans un lieu retiré et sur celui qui se cache des regards. Rester caché des regards est meilleur.

Si vous êtes en état d’impureté, alors purifiez-vous. Si vous êtes malades, ou en voyage, ou revenez de la selle, ou avez touché à des femmes et ne trouviez pas d’eau, utilisez en substitution un sol sain pour en passer sur votre visage et vos mains. Dieu ne veut vous imposer aucune gêne, mais vous épurer, parfaire sur vous son bienfait, escomptant que vous en aurez gratitude (sourate 5, verset 6).

Vous qui croyez, n’approchez la prière ni en état d’ivresse, avant de savoir ce que vous dites, ni en état d’impureté, sauf quand vous êtes en chemin, avant d’avoir pratiqué une ablution majeure, sauf si vous êtes malades, ou en voyage, ou revenant de déféquer, ou ayant touché à une femme, sans trouver d’eau: dans ce cas, recourez à un sol sain, effleurez-en votre figure et vos mains (sourate 4, verset 43).

Sous-chapitre 20
Sur celui qui se lave tout nu, seul, dans un lieu retiré et sur celui qui se cache des regards. Rester caché des regards est meilleur.

Bahz, de son père, de son grand-père, rapporte que le prophète avait dit :
« Dieu a plus de droit que les hommes quant à être pudique envers Lui.« 

HADITH 00278
D’après Abu Hurayra, le prophète dit :
« Les Israélites avaient l’habitude de se laver tout nus, les uns regardaient aux autres. Quant à Moïse, il se lavait tout seul; ce qui les poussa à dire : Par Dieu ! rien n’empêche Moïse de se laver avec nous sinon qu’il a une hernie testiculaire. Une fois, Moïse avant de commencer à se laver, posa son vêtement sur une pierre. Et celle-ci de prendre la fuite en emportant le vêtement. Moïse se mit alors à la poursuivre en criant : Mon vêtement ! ô pierre ! et ce jusqu’au moment où les Israélites purent voir Moïse. Par Dieu ! se dirent-ils, Moïse n’est atteint d’aucune infirmité. Quant à Moïse, il prit son vêtement et commença à frapper la pierre.« 

Abu Hurayra dit : « Par Dieu ! Ces coups laissèrent sur la pierre six ou sept traces. »

HADITH 00279
D’Abu Hurayra, du Prophète :
« Tandis que Ayyûb (job) était en train de se laver tout nu, tombèrent sur lui, tout à coup, des bâtonnets en or, d’où il se mit à les ramasser dans son vêtements. Son Seigneur l’appela alors : O Ayyûb ! ne t’ai-je pas assez enrichi pour que tu te passe de ce que tu vois là ? Certes oui, reconnut Ayyûb, mais je jure par Ta puissance que je ne peux me passer de Ta bénédiction !« 

Rapporté aussi par Ibrahim, de Mûsa ben Uqba, de Safwân, de Ara ben Yasâr, d’Abu Hurayra, du Prophète qui dit : « Tandis que Ayyûb se lavait tout nu…« 

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hadith 0243 – Les ablutions mineures (wudû) – Sur le fait que la fille lave le sang du visage de son père


Sous-chapitre 72
Sur le fait que la fille lave le sang du visage de son père

Abu al-Aliya, qui était malade, dit une fois à ses visiteurs : « Essuyez-moi le pied-ci ! il est malade. »

HADITH 0243
Abu Hâzim entendit Sahl ben Sad as Sa’idi répondre à des gens qui l’interrogeaient : « Personne ne s’interposait entre moi et lui », ajouta Abu Hâzim, sur la chose avec laquelle on avait soigné la blessure du Prophète. « Aucun des survivants n’est plus au courant de cette affaire que moi, di Sahl. C’était Ali qui apportait son bouclier plein d’eau tandis que Fâtima lavait le sang qui était sur son visage; puis on prit une natte, on la brûla et on tamponna la blessure. »

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hadith 0231 à 0232 – Les ablutions mineures (wudû) – Sur le cas où l'on lave l'impureté ou autre chose sans que les traces ne disparaissent


Sous-chapitre 65
Sur le cas où l’on lave l’impureté ou autre chose sans que les traces ne disparaissent

HADITH 0231
Amrû ben Maymûn dit : J’ai entendu Sulaymân ben Yasâr parler au sujet de l’impureté du sperme qui touche le vêtement en disant : Aicha dit :
« Je la lavais du vêtement du Messager de Dieu qui se rendait ensuite à la prière alors que les traces du lavage étaient sur son habit (c’est-à-dire les traces de l’eau). »

HADITH 0232
D’après Sulaymân ben Yasâr, Aicha dit qu’elle lavait le sperme du vêtement du Prophète « puis », ajouta-t-elle « je le vis sur lui avec une ou plusieurs traces. »

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