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Savez vous où sont nés les grands Savants de l’Islam ?


Nous entendons souvent le nom des grands savants de l’islam, mais savons-nous d’où ils viennent. A l’image de l’Islam, le résultat est surprenant et reflète le vrai message universel de l’Islam.
Qu’ils viennent d’Asie Centrale ou du Moyen Orient, ils ont tous contribué de manière significative à l’expansion de l’Islam à travers leurs recherches et leurs publications. Certains sont à l’origine des quatre plus grandes écoles de jurisprudence, auxquelles des régions entières se rattachent, d’autres sont les auteurs de livres de compilation de hadith de référence pour tous les musulmans.
Qu’Allah les agrée et soit satisfait d’eux
Quelques éléments biographiques des quatres fondateurs des principaux madhabs:
Imam Abu Hanifah Kufa, Iraq (80-148 AH), fondateur de l’école hanafite de jurisprudence. Il étudia pendant 18 ans sous la direction de Hammad. L’école Hanafite est le rite dominant chez les musulmans non arabophones (Turquie, Balkans, Asie centrale, et une large part du Sous-continent indien). Il fut emprisonné par le gouverneur de l’époque suite à son refus de devenir Juge. Il mourut en 148 AH dans sa prison,
Imam Malik – Médine, Arabie Saoudite (93-179 AH), aussi connu par la dénomination Imām dār al Hijrah, l’Imâm de Médine, fondateur de l’école malékite de jurisprudence. Cette école est majoritaire en Afrique du Nord et Afrique de l’Ouest.  Sa famille est originaire du Yémen, de la tribu Al-Asbahi. Son grand-père Amir s’installa à Médine après sa conversion à l’islam en l’an deux de l’hégire.
Imam Ash Shafi’i – Gaza, Palestine (150-204 AH), fondateur de l’école chaféite de jurisprudence. Ce madhhab est répandu en Égypte, Érythrée, Indonésie, Thaïlande, Inde du sud, Suriname, aux Comores, aux Philippines, au Yémen. L’imam Ash Shafi’i combina en quelque sorte le fiqh du Hejaz (madhhab maliki) avec celui d’Irak (madhhab hanafi)
Imam Ahmad ibn Hanbal – Baghdad, Iraq (164-241 AH), fondateur de l’écolehanbalite de jurisprudence. Cette école est essentiellement répandue en Arabie saoudite, Syrie, Iraq. Sa méthode d’enseignement était de dicter les hadiths de son immense recueil de hadith, le Musnad (recueil de hadith), qui contient plus de 30 000 hadiths avec les opinions de compagnons du prophète (Sahaba) concernant leurs interprétations. Le calife Al-Ma`mûn, alors en campagne militaire, le fait arrêter et torturer pendant deux ans.
Auteurs de recueils de Hadiths

Imam Boukhari – Boukhara, Ouzbékistan (194-256 AH),
Imam Abu Dawud – Sistan, Iran/Afghanistan (202-275 AH),
Imam Muslim – Neyshabur, Iran (204-261 AH),
Imam ibn Majah – Qazwin, Iran (209-273 AH)
Imam At Tirmidhi – Termiz, Ouzbékistan (209-279 AH)
Imam An Nasai – Nasa, Turkménistan (215-303 AH)

Une jeune saoudienne, Sara Alrabiah, lauréate du prix prestigieux de la NASA, le 21 mai 2017

Une jeune saoudienne, Sara Alrabiah, lauréate du prix prestigieux de la NASA, le 21 mai 2017

Les jeunes talents saoudiens étaient à l’honneur, mercredi soir, 21 mai 2017, sur la scène de la Foire Internationale Intel de la Science et de la Technique. Lors de la cérémonie de remise des prix de ce grand concours scientifique récompensant de brillants esprits, âgés entre 14 et 18 ans, une lycéenne a porté haut les couleurs de l’Arabie saoudite parmi une élite, issue de plus de 40 pays, dont la valeur n’a pas attendu le nombre des années pour éclore au grand jour.

Consacrée reine de la soirée devant un parterre admiratif, au terme d’une compétition très sélective qui, chaque année, couronne les travaux de recherche les plus remarquables fournis par plus de 1 500 collégiens et lycéens de par le monde, Sara Alrabiah a fait la fierté des siens pour avoir remporté une palme d’or très convoitée : le prestigieux prix de la NASA.

Après avoir impressionné le monde scientifique par la qualité de son projet axé sur l’amélioration des RAM résistantes en utilisant des Perovskites monocristallins, la jeune fille en fleur, couverte de fleurs, s’est vu décerner une insigne distinction qu’elle a dédiée à son père, son plus fervent soutien.

Dans une agora virtuelle sans frontières, la liesse s’est emparée des réseaux sociaux saoudiens en un éclair, l’annonce de sa consécration se propageant très largement et les félicitations pleuvant sur Facebook et Twitter.

Le succès de Sara Alrabiah, mais aussi de ses camarades Aamar Amir, Rana Al Salmi, Dana Al Khalidi et Nadia Al Motlaq, tous loués pour leur ingéniosité et créativité, rejaillit sur l’ensemble d’un royaume qui, bien que arc-bouté sur un conservatisme archaïque, exulte aujourd’hui à l’unisson devant les mérites et les compétences de sa jeunesse, filles et garçons.

Nombreux sont les internautes saoudiens qui se sont empressés de partager des photos à la gloire de leur nouvelle héroïne. La plus touchante est incontestablement celle où la jeune lauréate du prix de la NASA, après son retour triomphal à la maison, pose aux côtés de celui qui a toujours cru en elle, en ses prodigieuses capacités et lui a insufflé une confiance dans laquelle elle puise sa force : son papa aux anges.