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SAWS est l'abrégé de : Salla Allahou alayhi Wa Salam
"Allah et ses Anges prient sur le Prophète. O croyants, priez pour lui et louez-le."
( Sourate 33, verset 56 ).

Et d'aprés Al-Husayn, le Prophète ( Salla Allahou alayhi wa Salam ) a dit :
"L'égoîste, c'est celui qui ne prie pas sur moi quand mon nom est prononcé en sa présence.",
Rapporté par Ahmad, At-Tirmidhi, an-Nassa'î.

Le mérite de la sourate 2, La vache ( al baqara )

sourate

Le mérite de la sourate 2, La vache ( al baqara )

D’après Sahl ibn Sad, le Messager de Dieu a dit :

« Toute chose a un sommet ; celui du Coran est la sourate La vache ( al baqara ). Celui qui de nuit, la récite chez lui, Satan n’osera pas accéder à sa maison durant trois nuits. Celui qui, de jour, la récite chez lui, Satan n’osera pas accéder à sa maison durant trois jours.« 

D’après Abu Hurayra, le Messager de Dieu a dit :

« La sourate La vache ( al baqara ) contient un verset qui est le maitre de tous les autres versets. Il n’est récité dans un maison où le diable se trouve sans que ce dernier ne la quitte. Il s’agit du verset du Trône ( ayat al kursi )« 

D’après Abu Dharr al-Ghifari, le Messager de Dieu a dit :

« Dieu a clos la sourate La vache ( al baqara ) par deux versets qu’Il m’a donnés de Son trésor qui se trouve sous le Trône. Apprenez-les donc puis enseignez-les à vos femmes et enfants ; car, en fait, ils sont destinés à la prière, la récitation et l’invocation.« 

D’après Abd Allah ibn Mas-ud, le Messager de Dieu a dit :

« Les deux derniers versets de la sourate La vache ( al baqara ) protègent celui qui les récite de nuit.« 

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Le mérite de la sourate 1, L'ouverture ( al fatiha )

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Le mérite de la sourate 1, L’ouverture ( al fatiha )

D’après Anas ibn Malik, le Messager de Dieu a dit :

« Parmi les sourates du Coran, l’Ouverture ( al fatiha ) est celle qui a le plus de supériorité.« 

D’après Jabir ibn Abd Allah, le Messager de Dieu a dit :

« Lorsque Dieu accorde un bienfait à un homme, et que ce dernier dit : Louange à Dieu, il L’aura remercié. S’il la répète une seconde fois, Dieux lui renouvellera la récompense qui lui est due. S’il la répète pour la troisième fois, dieu lui pardonnera ses péchés.« 

D’après Abu Hurayra, le Messager de Dieu a dit :

« Dieu ( Le Très-Haut) dit : J’ai partagé la prière en deux moitiés entre Moi et Mon serviteur, en lui accordant ce qu’il demande. En effet, lorsque l’homme dit : Louange à Dieu, le Seigneur des univers , Dieu dit : Mon serviteur M’a loué. Lorsque, ensuite, il dit : Le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux, Dieu dit : Mon serviteur me fait des éloges. Lorsqu’il dit : Maitre du jour de la rétribution, Dieu dit : Mon serviteur M’a glorifié. Lorsqu’il dit : C’est Toi Seul que nous adorons, et c’est Toi Seul dont nous implorons secours, Dieu dit : Ceci est à partager entre Moi et Mon serviteur à qui J’accorde ce qu’il demande. Enfin, lorsqu’il dit : Guide-nous dans le droit chemin, le chemin de ceux que tu as comblés de faveurs, non pas de ceux qui ont encouru Ta colère, ni des égarés, Dieu dit : Ceci revient à Mon serviteur et Je le lui accorde. »

D’après Abd al-Malik ibn Umayr, le Messager de Dieu a dit :

« La sourate l’Ouverture ( al fatiha ) est un remède à tout mal.« 

D’après Ali ibn Abi Talib, le Messager de Dieu a dit :

« La sourate l’Ouverture ( al fatiha ) a été révélée à partir d’un trésor sous le Trône.« 

D’après Imran ibn Husayn, le Messager de Dieu a dit :

« Nul homme ne récite la sourate l’Ouverture ( al fatiha ) et le verset du Trône ( ayat al kursi, Coran 2/255) au sein d’une maison, sans que les gens qui y résident ne soient préservés du mauvais oeil, que ceci soit de la part des humains ou des djinns.« 

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Haïti 3 ans après : protéger les enfants séparés de leur famille reste une urgence

COMMUNIQUE DE PRESSE , A Massy, le 9 Janvier 2013

Haïti 3 ans après : protéger les enfants séparés de leur famille reste  une urgence

Dans un rapport publié 3 ans après le séisme, le Secours Islamique France interroge les causes profondes de la séparation familiale en Haïti et les conséquences réelles sur la vulnérabilité des enfants .En Haïti, 1 enfant sur 5 ne vit pas avec ses parents biologiques, 1 sur 10 est placé en domesticité. Le pays se situe au deuxième rang mondial pour les fléaux que sont le trafic et la traite des enfants. L’objectif de maintenir les enfants au sein de leurs familles demande une approche constructive et de long terme, qui s’appuie en priorité sur les acteurs haïtiens.

Le séisme de 2010 a jeté un coup de projecteur sur les centaines de milliers d’orphelins qu’a générés la catastrophe. Mais Haïti connaissait déjà une situation particulièrement alarmante en termes de séparation familiale, situation qui s’est aggravée donc en 2010, avec encore davantage de précarité, de séparation et de trafics d’enfants.

Le maintien de l’enfant au sein de sa famille demeure l’objectif ultime mais un long chemin reste à parcourir en Haïti pour que cela soit toujours la meilleure solution pour son bien-être. Les équipes du Secours Islamique France ont pu le mesurer au quotidien dans le travail mené auprès de familles vulnérables déplacées par la catastrophe, auprès de maisons d’enfants et dans les projets menés en faveur de la réunification familiale.

La pauvreté chronique, les fortes inégalités entre les villes et les zones rurales, les difficultés d’accès à l’éducation, mais aussi la complexité de la structure familiale haïtienne, où les mères se retrouvent souvent seules pour élever leurs enfants, impactent fortement les enfants haïtiens. Ceux-ci sont alors placés comme domestiques dans d’autres familles (les « Restaveks ») ou dans des orphelinats. Ils peuvent aussi aboutir dans la rue ou être pris dans des trafics vers la République Dominicaine. « Les familles sont dans l’illusion que le placement de leur enfant en institution ou auprès d’une autre famille leur offrira de meilleures conditions de vie » explique Christelle Huré, chargée de plaidoyer au Secours Islamique France.

Parmi les actions essentielles qui devraient être poursuivies, renforcées ou mises en œuvre, figurent en priorité le soutien aux acteurs haïtiens de la protection de l’enfance, y compris les organisations de la société civile. En effet, ces dernières  sont les acteurs clés pour la connaissance du contexte et pour l’identification des abus. Elles constituent le meilleur lien possible avec la population.

Dans son rapport intitulé « L’enfant à l’épreuve de la réalité haïtienne. Quelles actions pour lutter contre la séparation familiale et l’abandon ? », le Secours Islamique France interroge  les causes profondes de la séparation familiale en Haïti et les conséquences réelles sur la vulnérabilité des enfants.  En se basant sur sa pratique et sur les points de vue des différents acteurs œuvrant dans le domaine de la protection de l’enfance, l’organisation a voulu identifier les réponses les plus adaptées et pouvant protéger au mieux les enfants haïtiens.

Petit déjeuner-débat le 23 janvier 2013, à la Maison des Métallos, 94 rue Jean-Pierre Timbaud, 75011 Paris de 9h30 à 11h30 avec Michel Forst, expert indépendant des Nations Unies pour les droits de l’homme en Haïti, et des intervenants de Première Urgence Aide Médicale Internationale, du Collectif Haïti, et du Secours Islamique France.