www.islam-a-tous.com

Sur Mouslimradio, Coran, Hadith, Anachid, Tajwid, texte islamique et bien d'autres choses.....

Actuellement, en direct sur Loading ...


SAWS est l'abrégé de : Salla Allahou alayhi Wa Salam
"Allah et ses Anges prient sur le Prophète. O croyants, priez pour lui et louez-le."
( Sourate 33, verset 56 ).

Et d'aprés Al-Husayn, le Prophète ( Salla Allahou alayhi wa Salam ) a dit :
"L'égoîste, c'est celui qui ne prie pas sur moi quand mon nom est prononcé en sa présence.",
Rapporté par Ahmad, At-Tirmidhi, an-Nassa'î.

Les condoléances et ses règles

Les condoléances et ses règles

Les condoléances (dans la langue arabe) font référence à la piété. C’est-à-dire, la piété dont doit faire preuve la personne, en cas de malheur, en patientant face à cela. Ceci ne doit pas être fait dans les apparences et sensations, mais plutôt, dans le rappel et la piété en sachant qu’il n’y a pas un mal qui touche sans que cela ne soit décrété, et qu’il n’y a pas un mal évité sans que cela ne soit décrété [1]. SHeikh Ibn BâZ (rahimahullâh) a expliqué que pour ce qui est des condoléances à l’égard de la famille du défunt, il n’y a pas de jour précis pour les offrir. Cela est permis depuis le moment ou la personne rend son âme, avant la prière mortuaire, comme après. Il n’y a pas de moment précis pour cette pratique, le jour ou la nuit ; que ce soit dans la maison, ou dans la rue, ou dans la mosquée, ou dans le cimetière, ou dans d’autres lieux encore [2].

SHeikh Ibn ‘Uthaymîn (rahimahullâh) dit qu’il n’y a pas de doute sur le fait que les condoléances pour des défunts proches comme pour les autres, sont des choses recommandées et légiférées en Islâm. Ceci dit, les réunions faites dans une maison pour les condoléances font parties des innovations. Et si à cela s’ajoutent des repas dans cette demeure, cela est considéré comme des lamentations sur le mort. Ibn ‘Uthaymîn ajoute que ces condoléances doivent être données en toutes circonstances, et non pas comme les gens font en prenant place dans les maisons, ouvrant leur porte (aux gens pour cette circonstance) et ce qui y ressemble, tout cela fait partie des innovations religieuses. Les gens ne doivent pas faire cela, car ceci n’a pas été fait à l’époque des anciens pieux. [3] Les condoléances faites dans la maison de la famille du défunt n’ont pas de fondement dans la Sounnah. Cependant, si la personne est un proche, et qu’elle craint qu’en ne s’y rendant pas, elle risque de couper les liens proches, elle s’y rend, il n’y aura pas de mal à cela ; mais elle ne doit pas prendre place dans la maison. Car certains anciens pieux considéraient cette pratique comme des lamentations sur le mort. Ils ne doivent pas ouvrir leur maison à cela [4].

Les condoléances peuvent être données aux musulmans comme aux non-musulmans. Et le rassemblement dans les maisons pour cette occasion est une innovation qui n’a ni été faite à l’époque du Prophète (sallallahu ‘alayhi wa salam), ni à celle des compagnons. Ils ont fermé cette porte, c’est-à-dire, les portes de leurs défunts à ces condoléances. Ce n’est que quand ils se rencontraient dans les marchés, ou la mosquée, que les gens présentaient leurs condoléances. Il n’était pas connu à l’époque des compagnons que les gens se réunissaient chez la famille du défunt afin de présenter les condoléances, si ce n’est qu’ils assistaient (aidaient la famille du défunt) seulement pour la nourriture dans la maison. Car le fait de réunir les gens pour cette occasion est considéré comme de la lamentation sur le mort. Et la lamentation fait partie des grands péchés. [5] A voir notamment sur le sujet, l’avis des anciens pieux cités par Ibn Qoudâma dans al-Moughnî [6].

Notes

[1] Madjmu’ Fatâwa de SHeikh Ibn ’Uthaymîn, 17/350

[2] Madjmu’ Fatâwa de SHeikh Ibn BâZ, 13/379

[3] Madjmu’ Fatâwa de SHeikh Ibn ’Uthaymîn, 17/345

[4] Madjmu’ Fatâwa de SHeikh Ibn ’Uthaymîn, 17/342-343

[5] Madjmu’ Fatâwa de SHeikh Ibn ’Uthaymîn, 17/348-349

[6] Al-Moughnî de Ibn Qoudâma, 3/485-487

Par Ismail http://www.manhajulhaqq.com

Les bienfaits de la recherche de la science

Rechercher et apprendre la science (talab al ‘ilm) est un devoir pour tout musulman. Dans sourate Al ‘Alaq (l’Adhérence), Dieu (Exalté soit-Il) dit :

Lis au Nom de ton Seigneur qui a tout créé, qui a créé l’homme d’une adhérence ! Lis, car la bonté de ton Seigneur est infinie !

Les vertus de l’apprentissage de la science 

L’Islam encourage la recherche de la science dans de nombreux ahadith. Le prophète (que la Paix et le Salut soient sur lui) dit dans un hadith rapporté par l’imam Ahmad et Ibn Maja (que Dieu les agrée) :

Ô Abu Dharr, que tu partes et que tu apprennes un verset du livre d’Allah est préférable pour toi que de prier cent raka’a, et que tu partes et que tu apprennes une porte de science, que l’on applique ou pas, est préférable pour toi à ce que tu pries mille rak’a.

Ce hadith montre bien le grand mérite et la rétribution associée à l’apprentissage de la science.

L’apprentissage de la science est également ce qui va nous élever en degrés, Dieu (glorifié soit-Il) dit dans sourate Al Moujadala, verset 11 :

Allah élèvera en degrés ceux d’entre vous qui auront cru et ceux qui auront reçu le savoir. Allah est Parfaitement Connaisseur de ce que vous faites.

Al Tirmidhi (que Dieu l’agrée) rapporte dans un hadith authentique que le prophète (que la Paix et le Salut soient sur lui) a dit :

On a évoqué devant l’Envoyé d’Allah le cas de deux hommes : l’un est un dévot et l’autre est un savant. L’Envoyé a dit : Le mérite du savant sur le dévot est semblable au mien sur le plus proche d’entre vous. Ensuite, l’Envoyé d’Allah  a ajouté : Allah et Ses anges ainsi que les habitants des cieux et de la terre et même la fourmi dans sa fourmilière et le poisson prient sur ceux qui initient les gens au bien.

La place de la science est très importante en Islam. Nous sommes dans un siècle où l’information est partout, c’est pourquoi il faut redoubler d’efforts pour apprendre tout en étant vigilant aux sources de cet apprentissage. À nous de nous référer aux spécialistes d’une science si nous souhaitons l’apprendre.

L’effort d’apprendre et d’enseigner

Apprendre puis transmettre en tournant son intention totalement vers Allah (glorifié soit-il) fait partie des choses dont la rétribution  est immense. Mou’adh Ibn Jabal (que Dieu l’agrée) disait :

Apprenez le savoir car le fait de l’apprendre pour plaire à Allah constitue une marque de crainte, le fait de le viser constitue une marque d’adoration, le fait de l’étudier constitue une marque de glorification, le fait de le chercher constitue une marque de Jihad, le fait de l’enseigner à celui qui ne le possède pas constitue une aumône et le fait de le dispenser à ceux qui le méritent constitue un moyen de rapprochement d’Allah. C’est que le savoir est un ami intime dans la solitude et un compagnon fidèle dans la retraite spirituelle.

Une science apprise se doit d’être partagée, le prophète (que la Paix et le Salut soient sur lui) a dit d’après Ibn ‘Abass (que Dieu l’agrée) :

Conseillez vous en Science et ne vous cachez pas le savoir les uns les autres, car une trahison en science est plus grave qu’une trahison en argent.

تناصحوا في العلم ولا يكتم بعضكم بعضاً، فإنَّ خيانةً في العلم أشدُّ من خيانةٍ في المال

La science doit être partagée et transmise, nous devons toujours, en tant que croyants, être à sa recherche. D’ailleurs, plus nous apprenons, plus nous nous apercevons que nous sommes ignorants. Allah (glorifié soit-Il) dit dans sourate Faatir, verset 28  :

Parmi les serviteurs d’Allah, les savants sont les seuls à Le redouter

Que Dieu nous aide à apprendre Sa Science avec une intention saine, et à la transmettre.

Ton Programme Journalier du Mois de Ramadan ( livret à télécharger )

Ton Programme Journalier du Mois de Ramadan

Voici un programme pour une journée idéale de ramadan pleine d’adoration. C’est une sorte de « to-do-list » qui  reprend toute la journée du Fajr au Souhour :

Que faire avant, pendant ou après cela :
– La prière du Fadjr (aube)
– La prière du Dhohr (prière du milieu de journée)
– La prière du Asr (milieu de l’après midi)
– L’appel à la prière du Maghreb (coucher du soleil)
– La prière du Maghreb (coucher du soleil)
– La prière du Isha (du soir)
– La prière de Tarawih (prière de nuit effectuée)
– Le sommeil
– At-Tahadjoud (prière de nuit avant l’aube)
– Le Souhoûr (repas avant l’aube)…

Télécharge en cliquant ici —>  Ton programme journalier du mois de ramadan au format pdf

Le Prophète (BDSL) et les femmes

Le Prophète (BDSL) et les femmes

Nous savons que l’occident s’est fait une image totalement erronée du Prophète (BDSL), une image héritée des croisades, à savoir qu’un homme est apparu en Arabie, prétendant faussement être prophète et recevoir la révélation, l’épée à la main tranchant les têtes, faisant sienne toute jolie femme qu’il aperçoit ! Cette fausse image persistent encore jusqu’à nos jours.

Les controverses perpétrées par l’occident à l’encontre du Prophète (BDSL) visent à la fois son message et sa personne. Les controverses visant son message consistent à véhiculer l’idée selon laquelle l’islam serait une religion violente et sanguinaire. Quant aux controverses visant la personne du Prophète (BDSL), elles présentent le Prophète (BDSL) comme étant un homme à femmes sous prétexte qu’il épousa plusieurs femmes.

Nous allons, en premier lieu, déconstruire cette dernière controverse en apportant des arguments rationnels loin de toute réaction émotionnelle.

Commençons tout d’abord par cette question simple: Le Prophète Mohammad (BDSL) est-il le seul prophète à avoir pratiqué la polygamie ? Où, d’autres prophètes l’ont-ils pratiqué avant lui ?

Dans son livre « La femme entre le droit musulman et le droit positif ». Le professeur Moustapha as-Siba’i dit avoir visité, lors de son voyage en Irlande dans les années cinquante, le centre des Jésuites. Il rencontra le Père, directeur du Centre. Lors de leur conversation, ils abordèrent le Prophète (BDSL). Le Père dit alors : Nous, en occident, nous ne pouvons respecter un homme qui a eu neuf femmes. Le professeur as-Siba’i répondit alors calmement: D’accord ! Vous dites que vous n’avez pas de respect pour un homme qui a eu neuf femmes ! Respectez-vous David et Salomon ? « Bien sûr » répondit le Père « Il s’agit de prophètes de la Bible ». As-Siba’i dit : « Ne sais-tu pas que David avait cent femmes et que Salomon en avait mille ?! ». « Oui » dit le Père. As-Siba’i dit alors : « Comment peux-tu respecter des hommes ayant eu cent et mille femmes et ne pas respecter un homme qui n’en a eu que neuf ?! ». Le Père se  tut alors, puis lui présenta ses excuses.

Il parait alors évident que le Prophète Mohammad (BDSL) n’est pas le seul prophète à avoir eu plusieurs femmes, pourquoi donc un tel acharnement sur lui ?!

Deuxièmement, analysons les différentes phases de sa vie conjugale :

La première phase : Jusqu’à l’âge de vingt-cinq ans : Le Prophète (BDSL) est alors célibataire et n’a point connu de femmes, ce qui n’est pas habituel dans un environnement où la prostitution est répandue sans être réprouvée.

Deuxième phase : de vingt-cinq à cinquante ans : Le Prophète (BDSL) est marié à une seule femme qui est son aînée de quinze ans, qui plus est, déjà mariée à deux reprises avant lui et avait des enfants des deux précédents mariages ! Le Prophète (BDSL) a vécu avec elle durant vingt-cinq sans penser à se remarier bien qu’il est en âge où les passions sont les plus ardentes, et que la polygamie était répandue en Arabie sans aucune répréhension.

La troisième phase : entre cinquante et cinquante-deux ans : Triste, le Prophète (BDSL) demeure sans mariage par amour et fidélité pour Khadija.

La quatrième phase : de cinquante-deux ans à soixante ans : Le Prophète (BDSL) épouse plusieurs femmes pour des raisons politique, stratégique, sociale et humaniste. La première femme qu’il épouse est Sawda bintou Zam’a, une femme très âgées, plus âgée que Khadija, elle avait entre 65 et 80 ans ! Le Prophète aurait-il agit par pure passion ?! Sawda fut la première femme veuve de la nouvelle ère islamique. Son mari mourut lors du retour de la première immigration en Abyssinie. Sa famille n’était pas musulmane. Qui pourrait prendre en charge cette pauvre femme sans défense, qui épouserait une femme âgée ? Il fallait être prophète pour le faire. Ainsi, les détracteurs du Prophète (BDSL) le dénigrent en ce qui fait sa grandeur. De plus, serait-il sensé que la passion du Prophète (BDSL) pour les femmes ne se serait manifestée qu’après l’âge de cinquante-deux ans ?! Et de quel plaisir s’agit-il pour un homme qui n’a pas connu un jour de repos ; pris constamment par ses différentes responsabilités au plus haut niveau de l’état musulman. Certains seront tentés de penser que la multitude d’épouses riment avec le bien-être matériel, le luxe et la vie d’aisance à l’instar des palais royaux de l’époque. Or, la vie du Prophète (BDSL) était toute autre. La « sira » nous fait découvrir le Prophète (BDSL) comme un homme qui a constamment connu une vie dure et rude. Sa vie au côté de ses épouses fut une vie difficile, ascète et insupportable pour  beaucoup. Aïsha, que Dieu l’agrée, dit : « Il nous arrivait d’observer la nouvelle lune, puis la suivante, trois nouvelles lunes en deux mois sans qu’aucun feu ne soit allumer dans les foyers du Prophète (BDSL) ». « De quoi viviez-vous alors ? » lui dit son neveu ‘Ourwa ibn az-Zoubeïr lui. Elle répondit : « De dattes et d’eau ».

La cinquième phase : de soixante à soixante-trois ans. En lui révélant « Il ne t’est plus permis désormais de prendre d’autres femmes » (Coran s 33 v 52), Dieu lui interdit de se marier à nouveau.

D’après toutes ces phases, il parait évident que les différents mariages du Prophète (BDSL) n’ont guère étaient motivés par une soi-disant passion ardente qu’il éprouverait pour les femmes. La question est alors : qu’en étaient les causes ?

Le Prophète (BDSL) s’est marié avec plusieurs femmes pour multiples raisons dont :

1-    La communication de l’Islam : Il était indispensable qu’un groupe de personnes puissent transmettre les différents détails de la vie quotidienne du Prophète (BDSL), chez lui, avec ses épouses … Qui nous a-t-il transmis sa manière d’accomplir le « ghosl » (les grandes ablutions), l’attitude que doit avoir le mari avec son épouse indisposée et autres détails que seules les épouses du Prophète (BDSL) pouvaient connaître. C’est d’ailleurs pour cette raison que le Prophète (BDSL) épousa ‘Aïsha malgré son jeune âge, qui était la seule femme qui n’a pas connu de mariage auparavant « bikr », mais qui pourtant ne lui donna aucun enfant. Elle était prédestinée à se consacrer entièrement au savoir et à la transmission du savoir. D’ailleurs, elle vécut quarante-deux ans après la mort du Prophète (BDSL) pendant lesquels elle ne cessa de diffuser son savoir. En relatant deux mille-deux-cent-dix hadiths, elle prend la quatrième place des compagnons qui ont transmis le plus de hadiths prophétiques.

2-    L’unité et la stabilité de l’état après la mort du prophète (BDSL) : Les quatre hommes qui succèderont au prophète (BDSL) en devenant califes sont Abou Bakr, ‘Omar, ‘Othman et ‘Ali, que Dieu les agrée, les quatre piliers centraux de l’état musulman. Il fallait donc créer un lien qui les unit au Prophète (BDSL) et qui les unit les uns aux autres. C’est dans ce sens que le Prophète (BDSL) épousa ‘Aïsha fille de Abou Bakr et Hafsa fille de ‘Omar, et maria sa fille Fatima à ‘Ali, sa fille Rouqayya à ‘Othman, et lorsque celle-ci décéda, il lui maria son autre fille Oum Kalthoum.

3-    La compassion : Faire preuve de compassion envers les veuves. Le Prophète (BDSL) s’employait à ne laisser aucune veuve sans essayer de la remarier. C’était le seul moyen de les prendre efficacement en charge. C’est ainsi qu’il se maria avec Oummou salama, une femme âgée avec des enfants, et Sawda comme nous l’avons évoqué ci-dessus.

4-    Des raisons politiques : Le Prophète (BDSL) se maria avec Oummou Habiba lorsque le mari de celle-ci décéda. Oummou Habiba était la fille de Abou Soufiane, le chef de Qouraysh. Laisser cette femme noble épouser n’importe quel musulman, aurait été vécu par Abou Sofiane comme une humiliation et un affront. D’ailleurs, Abou Soufiane accepta volontiers ce mariage, et pour le Prophète, ce fut une façon d’adoucir le cœur de Abou Sofiane, farouche détracteurs des musulmans. De même, le Prophète (BDSL) épousa Safiyya fille de  Houyay qui était considéré comme le roi des juifs. Il fallait donc honorer cette dame.

5-    L’humanisme : Le Prophète (BDSL) épousa Jouwayriya bintoul-Harith. Son père fut le chef de la tribu des Banou al-Moustaliq. Sa lutte acharnée contre les musulmans a fini par une si lourde défaite que toute la tribu fit capturée par les musulmans. Le Prophète (BDSL) épousa alors Jouwayriya pour éveiller chez les musulmans les sentiments de noblesse et d’humanisme. Voyant que leurs captifs devinrent les beaux-parents du prophète (BDSL), les musulmans remirent toute la tribu en liberté. Cette action humaniste poussa tous les Banou al-Moustaliq à embrasser l’islam.

6-    Des raisons législatives : Les arabes avaient pour habitude d’interdire au père adoptif d’épouser la femme répudiée par son fils adoptif. Le Coran est venu abolir cette tradition d’une manière pratique en ordonnant au Prophète (BDSL) d’épouser Zeyneb bintou Jahsh, la femme répudiée par son fils adoptif Zeyd ibn Haritha, mettant terme par la même au système d’adoption pratiqué chez les arabes.

Par conséquent, nous pouvons conclure que le Prophète (BDSL) s’est marié de deux façons : Mohammad, l’homme. Il épousa de son choix une seule femme qui est Khadija. Et Mohammad le Prophète (BDSL). A ce titre, il épousa plusieurs épouses pour des raisons sociales, éthiques, humanistes et stratégiques, toutes liées à sa mission prophétique.

En réalité, toutes ces controverses dont fait l’objet le Prophète (BDSL) reflète un sentiment de racisme et d’anti-islam à l’encontre des musulmans. Leurs auteurs ne font qu’inventer des prétextes, fussent-ils infondés et insensés pour essayer de justifier leur racisme et leur islamophobie.

Moncef ZENATI