www.islam-a-tous.com

Nous avons découvert MouslimRadio et nous voulons vous en faire profiter, inch Allah.
Sur MouslimRadio, vous entendrez du Coran, Hadith, Anachid, Tajwid, texte islamique, Flash info ( toutes les 4 heures ) et bien d'autres choses, inch Allah

Actuellement, en direct sur Loading ...

Visiter leur réseaux sociaux et leur email
MouslimRadio est sur VK MouslimRadio est sur X MouslimRadio est sur Twitter Envoyer un Email à MouslimRadio
Écoutez la station MouslimRadio sur votre smartphone gratuitement avec l'application myTuner  : Écoutez la station MouslimRadio sur myTuner myTuner est sur Google Play myTuner est sur Apple Store myTuner est sur Galaxy Store myTuner est sur Amazone AppStore myTuner est sur Huawei AppGallery myTuner est sur Microsoft Store

25 conseils pour te réformer envers ceux qui t'enseignent la religion

25 conseils pour te réformer envers ceux qui t’enseignent la religion

01 – Il faut prendre conscience qu’ils nous apportent ce qui à de meilleur sur la surface de la terre, la science.
02 – Il ne faut jamais refuser son enseignement, même si celui-ci semble sévère ou rude.
03 – On ne doit jamais négliger de l’honorer, aussi bien en sa présence qu’en son absence. Durant toute sa vie et après sa disparition.
04 – Il est comme le père, il faut toujours le saluer avec respect. On peut l’embrasser sur le front s’il est d’accord, on peut également lui baiser la main (pour les hommes seulement).
05 – Vous ne devez pas vous asseoir à une place supérieure à la sienne.
06 – Il ne faut pas allonger les pieds devant lui.
07 – Il ne faut pas trop gesticuler en sa présence, ni laisser paraitre un désintéressement.
08 – Il ne faut jamais médire sur lui.
09 – Il ne faut jamais lui couper la parole, ni parler devant lui de ce qui vous dépasse.
10 – Ne jamais lever la voix sur lui.
11 – Il ne faut pas interpréter ses paroles, ni en enlever, ni en rajouter.
12 – En sa présence, il faut attendre qu’il parle le premier dans les sujets religieux.
13 – Il ne faut jamais poser une question pour le piéger ou le défier.
14 – Ne jamais lui adresser la parole en commençant par une affirmative.
15 – Parler au téléphone, bavarder ou bailler pendant son discours est un manque de respect.
16 – Il ne faut pas chercher ses défauts.
17 – Il faut le conseiller avec douceur comme vous le feriez avec vos parents.
18 – Il ne faut pas oublier que sa compréhension des textes est supérieure à la votre.
19 – Il ne faut pas lui tenir tête longuement.
20 – Être attentif à ses besoins et être à son service si vous êtes quelqu’un de proche.
21 – Lui demander de ses nouvelles quand vous partez.
22 – S’il y a un danger, l’assister et le soutenir.
23 – Il faut invoquer Allah en sa faveur.
24 – il ne faut pas oublier qu’il porte une lourde charge sur ses épaules.
25 – Ne pas oublier qu’il ne souhaite que votre bien et pas votre mal.

 

hadith 0123 – La science – Sur celui qui, debout, interroge un savant assis


Sous-chapitre 45
Sur celui qui, debout, interroge un savant assis

HADITH 0123
Abu Mûsa rapporta : Une fois, un homme vint trouver le Prophète et lui dit :
« O Messager de Dieu ! qu’est-ce que c’est que de combattre pour la cause de Dieu ? car il y a parmi nous celui qui combat par colère et celui qui combat par emportement. »
Le Prophète leva alors la tête, il ne la leva que parce que l’homme était debout, et dit :
« Celui qui combat afin que la parole de Dieu ait le dessus, celui-là combat pour la cause de Dieu, Puissant et Majestueux.« 

Allez au,
sommaire
<–  Sous-chapitre précédentSous-chapitre suivant –>
<–  chapitre précédentchapitre suivant –>

hadith 0122 – La science – Il est recommandé au savant de rapporter la chose à Dieu, une fois interrogé : "Parmi les gens, qui est le plus savant ?"


Sous-chapitre 44
Il est recommandé au savant de rapporter la chose à Dieu, une fois interrogé :
« Parmi les gens, qui est le plus savant ? »

HADITH 0122
Said ben Jubayr dit : J’ai dit une fois à ibn Abbâs :
« Nawf al Bakâly prétend que Moïse qui avait accompagné al-Khadir n’était pas Moïse des israélites, c’était, d’après lui, un autre Moïse… »
« il ment, cet ennemi de Dieu », répliqua ibn Abbâs,
« Ubay ben Ka’b m’a rapporté que le Prophète avait dit ceci :

« Une fois, Moïse le prophète se leva pour prêcher les béni Isra’il. On l’interrogea alors :
– Qui est le plus savant des gens ?
– Moi, je suis le plus savant, répondit-il, d’où Dieu lui reprocha cette réponse qui ne reporte pas le savoir à Lui; puis Il lui révéla ceci :
– Il y a, au confluent des deux eaux, un homme parmi Nos Homme qui est plus savant que toi.
– O Seigneur ! implora Moïse,

– comment le rencontrer ?
Mets un poisson dans un panier : lui expliqua-t-on, et une fois ce poisson perdu tu trouveras l’homme.
En effet, Moïse prit un poisson dans un panier et partit avec son page, Yûchu ben Nûn. A leur arrivée au rocher, ils succombèrent au sommeil, et le poisson, qui fut une surprise pour eux, de se faufiler du panier en direction de la mer. Quant à eux, ils continuèrent à marcher durant le journée et la nuit. Le lendemain matin, Moïse dit à son page :
– Apporte le déjeuner ! ce voyage nous a fatigués.
Or Moïse n’avait senti la fatigue le regagner que lorsqu’il dépassa l’endroit auparavant fixé.
– As-tu vu lorsque nous nous sommes mis sous le rocher ?
– C’est là-bas que j’ai oublié le poisson.
– C’est ce que nous cherchions, s’écria Moïse

Ils rebroussèrent chemin et une fois près du rocher ils virent un homme enveloppé dans un vêtement ou qui s’était enveloppé dans son vêtement. Moïse prononça le salam (le salut). Al-Khadit dit :
– Comment est-ce possible que le salam soit en usage dans votre pays ?
– Mais je suis Moïse !
– Moïse des béni Isrâ’il ?
– Oui, répondit Moïse avant de reprendre :
– Puis-je te suivre afin que tu m’enseignes de l’enseignement de la voie droite que tu as reçu ?
– Tu ne pourra être patient avec moi. ô Moïse ! dit al-Khadir;
– j’ai une partie de la science de Dieu que tu ne connais pas; et toi, tu as une Science qu’Il t’a enseignée et que je ne connais pas.
– Tu me trouvera patient, si Dieu le veut; et je ne te désobéirai en aucun cas.
Sur ce, ils prirent le chemin de la côte, ils n’avaient pas de navire. Et un bateau de passer devant eux. Ils demandèrent alors à ses occupants de les prendre avec eux. On reconnut al-Khadir, d’où on accepta de les embarquer gratuitement.
Un oiseau vint se poser sur le bord du bateau et piqua son bec une ou deux fois dans la mer. Al-Khadir dit :
– O Moïse ! ta science et la mienne n’ont été prises de la science de Dieu que comme la goutte qui vient d’être puisée de la mer par cet oiseau.
Il se dirigea ensuite à une planche du navire et l’enleva. Moïse dit :
– Ces gens nous ont embarqués gratuitement et te voilà en train de saborder pour noyer ses occupants !
– Ne t’ai-je pas dit que tu ne pourras être patient avec moi ?
– Ne m’en veux pas d’avoir oublié.
Ce fut le premier oubli de la part de Moïse.
Ils reprirent leur marche et au cours du chemin, ils virent un enfant en train de jouer avec d’autres enfants. Al-Khadir mit la main sur la tête de cet enfant et la lui arracha.
– Mais tu viens de tuer une âme innocente sans qu’il y eût crime de sa part !
– Ne t’ai-je pas dit que tu ne pourras être patient avec moi ? »
Là, Sufyân ibn Uyayana commente : Cela (le deuxième acte d’al-Khadir) est plus grave).
« Ils reprirent leur chemin, et une fois dans un village ils demandèrent à ses habitants quelques chose à manger mais on leur refusa l’hospitalité. Après quoi, ils virent un mur sur le point de s’écrouler. Al-Khadir le redressa. Moïse dit :
– Que n’as-tu consenti à prendre pour ce travail un salaire ?
– Ceci marquera notre séparation. »
Le Prophète dit enfin :
« Que Dieu soit miséricordieux envers Moïse ! Nous aurions bien voulu qu’il fût patient de sorte qu’il nous eût raconté plus de leur histoire.« 

Allez au,
sommaire
<–  Sous-chapitre précédentSous-chapitre suivant –>
<–  chapitre précédentchapitre suivant –>

hadith 0083 – La science – Sur la réponse donnée par un Savant alors qu'il est sur une monture ou sur une autre chose


Sous-chapitre 23
Sur la réponse donnée par un Savant alors qu’il est sur une monture ou sur une autre chose

HADITH 0083
Abd-ul-Lâh ben Amru ben al-Âs dit : Ie Messager de Dieu se leva le jour du pèlerinage de l’Adieu à Mina où les gens commencèrent à l’interroger. Un homme vint le voir en disant :
« Sans s’en rendre compte, j’ai tondu les cheveux avant de faire le sacrifice. »
« Fais ton sacrifice, il n’y a aucune gêne. »
Et un deuxième homme de dire :
« Sans s’en rendre compte, j’ai fait mon sacrifice avant que je ne jette. » (il s’agit d’un rite)
« Jette (tes pierres) ! il n’y a aucune gêne. »
Et à chaque fois qu’on interrogeait le Prophète sur un rite fait trop tôt ou trop tard, il répondait :
« Accomplissez-le ! il n’y a aucune gêne à cela.« 

Allez au,
sommaire
<–  Sous-chapitre précédentSous-chapitre suivant –>
<–  chapitre précédentchapitre suivant –>